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À découvrir
Qu'il est bon de retrouver l'univers de Barbara Constantine qui parvient à mettre du sourire dans la vie de tous les jours! Retrouvez un drôle de petit monde où les anciens forment une "coloc" extraordinaire où chacun met du beurre dans les épinards. Entraide et convivialité sont les maîtres mots de ce petit roman qui saura vous étonner.
Lisez et savourez, vous allez adorer!
Une histoire pleine d'humour, de tendresse et de situations étonnantes qui propose la solidarité face à la solitude et à l'individualisme !
A lire absolument !
Depuis que ses enfants et ses petits enfants sont partis, Ferdinand vit seul dans sa grande ferme. Alors, quand sa voisine Marceline se trouve dans la détresse, il propose qu'elle s'installe chez lui... Quand son ami Guy perd sa femme et déprime seul à la maison, il n'hésite pas, la ferme est suffisamment grande ! Et quand les sœurs lumières sont menacées de finir à l'hospice, impossible de ne pas les recueillir ! C'est ainsi que la ferme se remplit petit à petit de personnages atypiques et hauts en couleur pour qui l'entre-aide deviendra le maître mot.
Barbara Constantine nous
offre un récit plein d'humour, de fraîcheur et de tendresse. Une très belle histoire de solidarité comme on aimerait en entendre plus souvent !
Ferdinand, la soixantaine passée, s'ennuie dans sa ferme depuis que ses deux petits enfants ont déménagé.
Un jour, il vient en aide à sa voisine victime d'une inondation suite à l'écroulement d'une partie du toit de sa maison. Seule et âgée comme lui, il lui propose son hospitalité pendant la durée des travaux.
Et petit à petit, la ferme va se repeupler au fil des invitations : un ami devenu veuf, deux belles-soeurs expulsées de chez elles par un gendre sans coeur, une jeune étudiante infirmière hébergée en échange de soins qu'elle peut apporter à ces habitants.
C'est une
très belle histoire de fraternité, de solidarité et d'entraide racontée à travers des dialogues vifs entre des personnages haut en couleur.
Un roman rafraîchissant et léger, qui redonne de l'enthousiasme en ces temps plutôt moroses!
Ferdinand vit seul dans sa ferme, depuis que sa femme est décédée et son fils est parti avec femme et enfants. Sa vie est monotone et solitaire. Par la force des choses, il va ouvrir sa porte et recueillir chez lui différentes personnes de tous âges. Au gré des événements, c'est une vie en communauté qui se construit et s'appuie sur la solidarité inter-générationnelle.
L'auteur nous propose un roman touchant et tendre. Elle parle avec justesse des relations humaines et de ce que les générations peuvent s'apporter réciproquement. C'est un récit plein d'humanité et qui fait
du bien.
J'ai aimé l'atmosphère du roman, la chaleur du poêle, l'odeur de la tisane, des vieilles pierres et du potager. Cela sent bon la campagne et la chaleur humaine.
Ce livre est agréable à lire et à retrouver le soir après une journée de labeur. Une oasis de finesse et d'humanité.
Une fin que l'on peut interpréter selon son degré d'optimisime...
Un thème commun au film "Et si, on vivait tous ensemble ?" : une colocation entre "viocs" et jeunes. Bien sûr, le livre a cet avantage de pouvoir mieux décrire – en détails – la vie des personnages.
C'est avec tendresse et drôlerie que je me suis attachée à Ferdinand, Marceline & Cie ! Barbara Constantine arrive à mêler toutes les générations jusqu'à les faire cohabiter sous le même toit, malgré les différentes personnalités ! Pari, donc, gagné ! – comme dans le film.
Les thèmes – et ils sont nombreux – sont abordés avec humour et sérieux, tout particulièrement
celui de la mort. Barbara Constantine nous le décrit avec la vision de toutes les générations des personnages du livre. Émotions garanties quand Ludo et P'tit Lu donnent la leur.
Le style d'écriture de Barbara Constantine s'adapte à tous les lecteurs et se marie magnifiquement bien aux personnages. Ce fut un réel plaisir et bonheur que de lire ses mots !
Mon seul petit reproche : où se déroule précisément l'histoire ? Ce n'est pas clairement écrit, dommage … Mais peu importe, ce n'est pas essentiel. Barbara Constantine n'est pas là pour nous faire une description de paysages, mais pour nous faire passer un message, des messages ! Là encore, pari gagné !
Une suite ? Ce ne serait pas de refus ! Je suis un peu restée sur ma fin …
Lisez-le ! Vous passerez un agréable moment avec Ferdinand & Cie !
Formidable, rafraichissant, tels pourraient être les deux qualificatifs de ce livre qui m'a laissé un excellent souvenir.
Structuré en micro chapitres permettant une lecture rapide, ce roman résume la vie de tous les jours à la campagne.
La vieillesse et la solitude, la difficulté de vivre avec une petite retraite, les séparations, les décès mais aussi le déni de grossesse abordé en fin de roman (et traité malheureusement superficiellement).
Bien sur cette maison populaire reste un roman idyllique... mais tous ces sujets sont très bien traités.
La solidarité inter générations
est l'avenir de notre société vieillissante.
Bravo à Barbara Constantine!
Cela débute tout lentement, à 50 km/h pour être précise, car le Ferdinand, ce n'est pas vraiment un pilote de F1, mais assez rapidement les évènements s'enchainent. On découvre les autres protagonistes avec leur petite vie dans cette bourgade sans histoire.
Dis comme cela, je comprendrais que certains ne soient pas plus emballés que cela par ce roman. Ca peut paraitre plat, voir morne, mais c'est bien tout le contraire grâce à l'écriture enlevée de Barbara Constantine.
Tous les dialogues ou certaines pensées ne sont pas très politiquement correctes, voir policés, mais qu'est-ce
que cela fait du bien. On s'amuse, on sourit et même, on se reconnait parfois, même si on n'a pas 70 ans et plus ! Jurer un coup n'est pas réservé aux anciens que diable ! D'ailleurs, il y aura bien d'autres protagonistes plus jeunes qui ne vont pas se gêner.
Une histoire émouvante, mais qui ne rend pas triste avec le talent de l'auteur. C'est un peu comme "Tatie Danielle", ça pique, mais cela ne blesse pas mortellement. Le sujet se veut grave, mais pas désespérant pour peu que l'on le prenne par le bon bout.
J'ai oscillé entre pas mal d'émotions. J'ai eu les larmes aux yeux, mais le plus souvent, c'est le sourire aux lèvres que j'ai eu.
Une fresque magnifique qui ne cache pas la réalité triste et dure de la vie, de la fin de vie, mais qui se veut aussi belle et pleine d'espoir car un petit geste, une parole peuvent tout changer... Et puis les bases de l'existence, on ne devrait jamais les oublier, jamais même au nom de la modernité, du confort factice et j'en oublie !
"Et puis Paulette..." raconte une histoire toute simple, qui se lit rapidement. C'est une tranche de vie de plusieurs personnes de tout âge, qui se rencontrent suite à différents événements. Ce roman apporte un peu d'optimisme et une nouvelle façon de voir les choses, et peut-être aussi d'envisager la vieillesse, à voir.
Ferdinand vit seul. Seules les visites de ses petits fils lui remettent du baume au cœur. Au cours de l’une d’entre elles, ils viennent en aide à la voisine de Ferdinand dont la toiture a été arrachée par une violente tempête. Les Lulus, jamais à court d’idées, suggèrent à leur grand père de lui proposer de s’installer à la ferme.
Commence alors une aventure extraordinaire. La ferme va devenir une arche de Noé pour les âmes perdues. De triste, la demeure de Ferdinand foisonne de vie et de gaité. On rit, on se démène quand l’un d’entre eux est dans le besoin. A plusieurs
on trouve toujours des solutions. La marche paraît moins haute à monter quand on vous fait la courte échelle.
Et puis il y a les animaux : les chats, la chienne Berthe et l’âne Cornélius qui n’a pas son pareil pour déjouer n’importe quel obstacle mais cet âne est spécial il comprend tous les mots qui sont prononcés en sa présence.
Ce roman c’est une histoire d’amitiés, au pluriel, mais aussi de solidarité entre les générations. C’est un roman où on passe des rires aux larmes en un clin d’œil. Certains des personnages n’ont pas eu une vie facile mais cette ferme du bonheur va leur permettre de remettre leurs vies sur les rails.
En revanche, je n’imaginais pas cette fin et j’ai été assez surprise mais pas déçue pour autant.
Un pur régal que ce roman qui se déguste comme une friandise.
Voici un livre que je recommande absolument.
C'est un petit livre simple, qui se lit facilement et qui rend heureux!
Une jolie histoire où se mêlent différentes générations, et qui est de toute fraicheur!
Mais qui est cette mystérieuse Paulette ?! Car la ferme de Ferdinand se remplie peu à peu, mais toujours pas de Paulette à l'horizon. Ca commençait à m'énerver, cette histoire.
Et puis, comme toujours, je me suis laissée "prendre au jeu" de l'auteure : des personnages attachants ; des personnages des précdents romans qui sont cités au détour d'une phrase ; de l'amitié toujours et du soutient, que c'est beau, que cela fait chaud au coeur.
J'ai fini par passer un agréable moment en compagnie de cette sacrée bande de personnes agées, même si avec mon esprit en proie à la bougonnerie,
ce n'était pas gagné d'avance.
Qui plus est, l'auteure évoque tout en délicatesse le sujet des refus de grossesse, un traumatisme souvent dénié, mais traité dans ce roman avec amour.
L'image que je retiendrai :
Celle des soeurs Lumière, pas vraiment soeurs (plutôt belles-soeurs) tenant un magasin d'électricité.
J'ai vraiment eu du plaisir a lire ce livre , Ferdinand se retrouve seul dans sa ferme , d'abord il accueille Marceline sa voisine qui n ' a plus de toit , après Guy et Simone et Hortense et du coup tout ce petit monde vit ensemble dans la ferme de Ferdinand.
Très bon livre très simple a lire comme tous les livres de Barbara Constantine.
Quand la générosité guide les décisions c'est la solidarité qui s'exprime.
Beaucoup de spontanéité, de fraicheur autour de ces personnages isolés et solitaires avant de tenter une improbable vie en communauté.
Barbara Constantine met en lumière les relations intergénérationnelles dans toute leur beauté et leurs difficultés.
A lire sans modération
je ne savais pas trop à quoi m'attendre et finalement, le style m'a bien surpris. mais j'ai devoré ce petit livre très sympa, attendrissant et drole...
J'ai reçu ce livre en cadeau de mes filles et dès que j'ai commencé, j'ai dû le finir tout de suite. Heureusement que c'était un dimanche !
Les personnages sont formidables, banals pourtant, mais qui luttent pour conserver une vie meilleure au quotidien... et qui y arrivent ! Malgré les sautes d'humeur des uns et des autres, malgré le manque d'argent, malgré les différences d'âge. Grâce à un moyen tout simple : la solidarité. Associée au respect de l'autre.
Une histoire simple écrite avec des mots de tous les jours. On se retrouve assis sur un banc à voir passer tranquillement les âmes de ce bouquin... On se lève et on les suit sans savoir où mais l'on sait déjà ne pas le regretter.
Un joli moment de lecture que ce roman. La ferme de Ferdinand, vide depuis plusieurs années, va reprendre vie avec l'arrivée de co-locataires aussi différents qu'attachants et puis Paulette...Un livre qui se lit d'une traite même si dans la même veine " ensemble c'est tout ' d'Anna Gavalda m'avait plus touché. J'aurai aimé en apprendre un peu plus sur les personnages, avoir un peu plus de temps pour m'attacher à eux. Un peu court donc à mon goût.
J'aime toujours autant le style "scénaristique" de Barbara Constantine.
L'idée d'une auberge espagnole version 3è âge est plutôt sympa.
On retrouve la joie et l'émotion qui font la force de ses romans.
Malgré tout, je ne me suis pas laissée emporter comme dans ses précédentes histoires.
Quelle fraicheur d'écriture pour cette auteur !
Un plaisir de lecture que j'apprécie.
Histoire qui donne envie de beaucoup de choses.
Barbara constantine nous offre de nouveau un vent de fraicheur. ET puis Paulette... c'est une multitude de personnage attachants avec leurs fêlures, leurs bons côtés.
Au côtés de Ferdinand, voyez la grande ferme se remplir, reprendre vie grâce à cette bande de “copains” : les “solidarvioc”.
Une belle histoire servie par une belle plume.
Un roman qui donne du baume au coeur !
"Et puis Paulette..." est un roman très attachant grâce à ses personnages (toutes générations confondus).
Tout démarre avec Ferdinand, seul dans sa grande maison après le départ de son fils et de ses petit-enfants. Petit à petit, il va réussir à redonner de la vie dans sa ferme en aidant des amis dans le besoin et puis Paulette bien sûr...
Un livre qui se démarque par son optimisme et sa bienveillance.