Et dieu créa l'animal. L'animal dans le judaïsme
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- Nombre de pages148
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.248 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,2 cm
- ISBN979-10-92389-22-7
- EAN9791092389227
- Date de parution01/04/2021
- CollectionAu service de la Torah
- ÉditeurTransmettre
- PréfacierGérard Larcher
Résumé
Cet ouvrage consacré à "l'animal dans le judaïsme" est rédigé par Bruno Fiszon qui possède la double qualité de docteur vétérinaire et de rabbin. Un privilège très rare qui mérite d'être souligné. Le grand rabbin de la Moselle, Bruno Fiszon, demeure le spécialiste reconnue de l'animal dans le judaïsme. A travers la Torah et les écrits des nombreux commentateurs du Talmud, le grand rabbin Bruno Fiszon nous rappelle que l'homme demeure l'acteur principal de son environnement naturel.
Dans la mesure où il est placé au sommet de la Création, les lois de Moïse lui attribuent la responsabilité de veiller sur les espèces inférieures animales comme végétales. Le récit de l'Arche de Noé ordonne à l'homme de préserver ce que nous désignons pas la Biodiversité. Chaque animal a sa place dans l'ordre de l'univers et la disparition d'une espèce constitue une dégradation du Monde selon le projet biblique.
Il est clair que l'homme et l'animal restent liés par un destin commun. La valeur intrinsèque de l'animal exige son respect. Tel est le sens des règles bibliques interdisant de lui infliger une souffrance quelconque. Cet ouvrage évoque d'autres questions fondamentales comme la shérita, ou l'abattage rituel, la consommation de viande, la place des animaux familiers ainsi que celle de la chasse dans le judaïsme.
Ce livre répond aux débats actuels sur la biodiversité, et la protection animale et souligne les réoccupations anciennes du judaïsme sur ces questions.
Dans la mesure où il est placé au sommet de la Création, les lois de Moïse lui attribuent la responsabilité de veiller sur les espèces inférieures animales comme végétales. Le récit de l'Arche de Noé ordonne à l'homme de préserver ce que nous désignons pas la Biodiversité. Chaque animal a sa place dans l'ordre de l'univers et la disparition d'une espèce constitue une dégradation du Monde selon le projet biblique.
Il est clair que l'homme et l'animal restent liés par un destin commun. La valeur intrinsèque de l'animal exige son respect. Tel est le sens des règles bibliques interdisant de lui infliger une souffrance quelconque. Cet ouvrage évoque d'autres questions fondamentales comme la shérita, ou l'abattage rituel, la consommation de viande, la place des animaux familiers ainsi que celle de la chasse dans le judaïsme.
Ce livre répond aux débats actuels sur la biodiversité, et la protection animale et souligne les réoccupations anciennes du judaïsme sur ces questions.
Cet ouvrage consacré à "l'animal dans le judaïsme" est rédigé par Bruno Fiszon qui possède la double qualité de docteur vétérinaire et de rabbin. Un privilège très rare qui mérite d'être souligné. Le grand rabbin de la Moselle, Bruno Fiszon, demeure le spécialiste reconnue de l'animal dans le judaïsme. A travers la Torah et les écrits des nombreux commentateurs du Talmud, le grand rabbin Bruno Fiszon nous rappelle que l'homme demeure l'acteur principal de son environnement naturel.
Dans la mesure où il est placé au sommet de la Création, les lois de Moïse lui attribuent la responsabilité de veiller sur les espèces inférieures animales comme végétales. Le récit de l'Arche de Noé ordonne à l'homme de préserver ce que nous désignons pas la Biodiversité. Chaque animal a sa place dans l'ordre de l'univers et la disparition d'une espèce constitue une dégradation du Monde selon le projet biblique.
Il est clair que l'homme et l'animal restent liés par un destin commun. La valeur intrinsèque de l'animal exige son respect. Tel est le sens des règles bibliques interdisant de lui infliger une souffrance quelconque. Cet ouvrage évoque d'autres questions fondamentales comme la shérita, ou l'abattage rituel, la consommation de viande, la place des animaux familiers ainsi que celle de la chasse dans le judaïsme.
Ce livre répond aux débats actuels sur la biodiversité, et la protection animale et souligne les réoccupations anciennes du judaïsme sur ces questions.
Dans la mesure où il est placé au sommet de la Création, les lois de Moïse lui attribuent la responsabilité de veiller sur les espèces inférieures animales comme végétales. Le récit de l'Arche de Noé ordonne à l'homme de préserver ce que nous désignons pas la Biodiversité. Chaque animal a sa place dans l'ordre de l'univers et la disparition d'une espèce constitue une dégradation du Monde selon le projet biblique.
Il est clair que l'homme et l'animal restent liés par un destin commun. La valeur intrinsèque de l'animal exige son respect. Tel est le sens des règles bibliques interdisant de lui infliger une souffrance quelconque. Cet ouvrage évoque d'autres questions fondamentales comme la shérita, ou l'abattage rituel, la consommation de viande, la place des animaux familiers ainsi que celle de la chasse dans le judaïsme.
Ce livre répond aux débats actuels sur la biodiversité, et la protection animale et souligne les réoccupations anciennes du judaïsme sur ces questions.