Et dès lors ma guerre commença

Par : Michel Fennetaux

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  • Nombre de pages214
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.265 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-84335-076-X
  • EAN9782843350764
  • Date de parution13/09/1997
  • ÉditeurVerticales (editions)

Résumé

Dans ce récit d'une expérience des limites, Michel Fennetaux, en vingt et une lettres et trois rêveries qui forment l'étoffe de son livre, déclare la guerre à son handicap qui le prive chaque jour un peu plus de la faculté de se mouvoir, d'aller et de venir, de faire fidèlement obéir son corps en mouvements comme en mots. Et c'est cette privation même de ce qui fait la singularité des hommes et les efforts qu'il entreprend par l'écriture pour la dépasser qui lui font retrouver son humanité.

Michel Fennetaux n'est jamais l'esclave de ce qui cherche à le dominer puisqu'il n'a de cesse de se libérer de cette étreinte chaque jour toujours un peu plus serrée. Sa pugnacité, il la doit à son sens du combat. Et c'est par les mots et l'écriture qu'il la met en oeuvre : les actes de sa guerre, parce qu'ils parlent de son auteur, parlent aussi des autres, de nous, des humains, et pose une question qui chemine et insiste dans chacune des lettres et des rêveries : comment habiter humainement l'existence quand elle est inhumaine ?

Dans ce récit d'une expérience des limites, Michel Fennetaux, en vingt et une lettres et trois rêveries qui forment l'étoffe de son livre, déclare la guerre à son handicap qui le prive chaque jour un peu plus de la faculté de se mouvoir, d'aller et de venir, de faire fidèlement obéir son corps en mouvements comme en mots. Et c'est cette privation même de ce qui fait la singularité des hommes et les efforts qu'il entreprend par l'écriture pour la dépasser qui lui font retrouver son humanité.

Michel Fennetaux n'est jamais l'esclave de ce qui cherche à le dominer puisqu'il n'a de cesse de se libérer de cette étreinte chaque jour toujours un peu plus serrée. Sa pugnacité, il la doit à son sens du combat. Et c'est par les mots et l'écriture qu'il la met en oeuvre : les actes de sa guerre, parce qu'ils parlent de son auteur, parlent aussi des autres, de nous, des humains, et pose une question qui chemine et insiste dans chacune des lettres et des rêveries : comment habiter humainement l'existence quand elle est inhumaine ?