Esthétiques du pire. Premier colloque du Centre Pompidou-Metz
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages246
- PrésentationBroché
- Poids0.474 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-35906-066-9
- EAN9782359060669
- Date de parution17/11/2011
- ÉditeurLienart
Résumé
Devant les effets imminents du changement climatique, les dérives des biotechnologies, les ravages de la déforestation incontrôlée et devant la longue la liste des catastrophes annoncées, la création, qu'elle soit d'ordre scientifique ou artistique, est mise en demeure de se poser des questions d'ordre philosophique, éthique et finalement politique. Saura-t-on s'interdire le clonage reproductif humain ? Pourra-t-on limiter les gaz à effet de serre ? Où va nous mener le pouvoir sans bornes donné à la spéculation financière entraînant certains pays européens au bord de la banqueroute ? Si le prodigieux développement des technosciences et de leurs multiples applications nous fascine, le prix à payer nous apparaît souvent exorbitant ; au point qu'une prise de conscience semble émerger tardivement, après un long purgatoire d'incrédulité ou d'inconscience collective.
Les propositions des artistes, scientifiques, botanistes, spécialistes des risques dits " naturels ", philosophes et écrivains, réunis ici, versent un contrepoison tonique face au lourd pathos des catastrophes, des bains de sang et des marées de larmes : autant de semences pour retrouver le chemin du " meilleur " plutôt que de se résoudre au pire.
Les propositions des artistes, scientifiques, botanistes, spécialistes des risques dits " naturels ", philosophes et écrivains, réunis ici, versent un contrepoison tonique face au lourd pathos des catastrophes, des bains de sang et des marées de larmes : autant de semences pour retrouver le chemin du " meilleur " plutôt que de se résoudre au pire.
Devant les effets imminents du changement climatique, les dérives des biotechnologies, les ravages de la déforestation incontrôlée et devant la longue la liste des catastrophes annoncées, la création, qu'elle soit d'ordre scientifique ou artistique, est mise en demeure de se poser des questions d'ordre philosophique, éthique et finalement politique. Saura-t-on s'interdire le clonage reproductif humain ? Pourra-t-on limiter les gaz à effet de serre ? Où va nous mener le pouvoir sans bornes donné à la spéculation financière entraînant certains pays européens au bord de la banqueroute ? Si le prodigieux développement des technosciences et de leurs multiples applications nous fascine, le prix à payer nous apparaît souvent exorbitant ; au point qu'une prise de conscience semble émerger tardivement, après un long purgatoire d'incrédulité ou d'inconscience collective.
Les propositions des artistes, scientifiques, botanistes, spécialistes des risques dits " naturels ", philosophes et écrivains, réunis ici, versent un contrepoison tonique face au lourd pathos des catastrophes, des bains de sang et des marées de larmes : autant de semences pour retrouver le chemin du " meilleur " plutôt que de se résoudre au pire.
Les propositions des artistes, scientifiques, botanistes, spécialistes des risques dits " naturels ", philosophes et écrivains, réunis ici, versent un contrepoison tonique face au lourd pathos des catastrophes, des bains de sang et des marées de larmes : autant de semences pour retrouver le chemin du " meilleur " plutôt que de se résoudre au pire.