Essai sur la vénerie du chevreuil. Ma passion
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- Nombre de pages140
- PrésentationBroché
- Poids0.45 kg
- Dimensions14,0 cm × 23,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-916558-09-7
- EAN9782916558097
- Date de parution17/04/2013
- ÉditeurMarkhor (Editions du)
- PhotographeJérôme Frachon
- IllustrateurArnaud Fréminet
- IllustrateurMarie-Jenny Lemaire
Résumé
"Un siècle et plus nous sépare déjà des grands veneurs de chevreuil de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle tels que MM. d'Armaillé, Chabot et Levesque et un peu moins pour MM. Clayeux, Beauchamp et Guyot. La vénerie du chevreuil est toujours là, bien présente, mais, hélas, ne peut plus se pratiquer comme la leur. Les rapprochers sont inexistants à cause de la densité d'animaux, le réchauffement climatique modifie souvent la qualité de la voie, les populations de chevreuils ne sont pas régulées, les petits chemins de campagne sont bouchés, les haies vives sont remplacées par des grillages à moutons, les successions entraînent le morcellement des grandes propriétés privées.
Mais, heureusement, notre monde moderne ne nous apporte pas que des désagréments et les veneurs ont su s'y adapter dans le respect des traditions. "Grâce au progrès, nos chiens sont mieux nourris, plus rapides, en meilleure santé qu'autrefois et nous permettent de chasser différemment des animaux souvent plus solides car sans cesse dérangés (chasseurs à tir, promeneurs, ramasseurs de champignons, etc.)".
Voici donc "le fruit empirique des quarante années passées à pratiquer cet art, dont sept en qualité de maître d'équipage, au cours desquelles j'ai eu la chance de sonner plus de sept cents hallalis".
Mais, heureusement, notre monde moderne ne nous apporte pas que des désagréments et les veneurs ont su s'y adapter dans le respect des traditions. "Grâce au progrès, nos chiens sont mieux nourris, plus rapides, en meilleure santé qu'autrefois et nous permettent de chasser différemment des animaux souvent plus solides car sans cesse dérangés (chasseurs à tir, promeneurs, ramasseurs de champignons, etc.)".
Voici donc "le fruit empirique des quarante années passées à pratiquer cet art, dont sept en qualité de maître d'équipage, au cours desquelles j'ai eu la chance de sonner plus de sept cents hallalis".
"Un siècle et plus nous sépare déjà des grands veneurs de chevreuil de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle tels que MM. d'Armaillé, Chabot et Levesque et un peu moins pour MM. Clayeux, Beauchamp et Guyot. La vénerie du chevreuil est toujours là, bien présente, mais, hélas, ne peut plus se pratiquer comme la leur. Les rapprochers sont inexistants à cause de la densité d'animaux, le réchauffement climatique modifie souvent la qualité de la voie, les populations de chevreuils ne sont pas régulées, les petits chemins de campagne sont bouchés, les haies vives sont remplacées par des grillages à moutons, les successions entraînent le morcellement des grandes propriétés privées.
Mais, heureusement, notre monde moderne ne nous apporte pas que des désagréments et les veneurs ont su s'y adapter dans le respect des traditions. "Grâce au progrès, nos chiens sont mieux nourris, plus rapides, en meilleure santé qu'autrefois et nous permettent de chasser différemment des animaux souvent plus solides car sans cesse dérangés (chasseurs à tir, promeneurs, ramasseurs de champignons, etc.)".
Voici donc "le fruit empirique des quarante années passées à pratiquer cet art, dont sept en qualité de maître d'équipage, au cours desquelles j'ai eu la chance de sonner plus de sept cents hallalis".
Mais, heureusement, notre monde moderne ne nous apporte pas que des désagréments et les veneurs ont su s'y adapter dans le respect des traditions. "Grâce au progrès, nos chiens sont mieux nourris, plus rapides, en meilleure santé qu'autrefois et nous permettent de chasser différemment des animaux souvent plus solides car sans cesse dérangés (chasseurs à tir, promeneurs, ramasseurs de champignons, etc.)".
Voici donc "le fruit empirique des quarante années passées à pratiquer cet art, dont sept en qualité de maître d'équipage, au cours desquelles j'ai eu la chance de sonner plus de sept cents hallalis".