Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" A une violence qui avait un objet, une intention, s'est substituée, peu à peu, une violence apparemment gratuite. A une violence qui pouvait encore...
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Résumé
" A une violence qui avait un objet, une intention, s'est substituée, peu à peu, une violence apparemment gratuite. A une violence qui pouvait encore désigner l'ennemi, autre, singulier, s'est substituée une violence nouvelle où l'autre n'existant plus, c'est à soi-même que l'on fait violence, à ses semblables ou à des êtres interchangeables, choisis au hasard, parce qu'ils ne sont, au fond, qu'une projection de nous-même. Si la crise de la notion de relation, et son corollaire la primauté du "un", peuvent expliquer les formes nouvelles de violence, elle affecte aussi notre manière de vivre, y compris nos formes d'expression et de pensée. " Tournant le dos aux analyses classiques sur la violence, ce petit livre dérangeant répond à quelques unes de nos interrogations, en même temps qu'il nous conduit sur les chemins de Celui qui reste l'Inattendu.
Auteur de nouvelles et d'un roman, "Le visage flou de Steiner" (éditions Michel de Maule), Joseph Antoine d 'Ornano a aussi écrit un essai sur le "Principe d'irréférence".