Ernest Noirot (1851-1913). Un administrateur colonial hors normes
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- Nombre de pages320
- PrésentationBroché
- Poids0.42 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-8111-0723-9
- EAN9782811107239
- Date de parution01/08/2012
- CollectionRelire
- ÉditeurKarthala
Résumé
"Histrion", photographe fantaisiste, impertinent et mal léché, inopinément confronté à l'Afrique, Ernest Noirot, aux multiples vertus, aux innombrables défauts, aura irrité, indigné ou au contraire séduit tous ses chefs successifs. Découvreur, avec le docteur Bayol, en 1881, d'un Fouta-Dialo guinéen encore indépendant et théocratique, il reviendra en 1897 le "casser" sans ménagement. Partout où il passe, au Sénégal comme en Guinée, pendant vingt-cinq ans, commandant à poigne mais réalisateur infatigable, il organise, invente et construit.
Déconcertant et sulfureux parfois, il imagine le chemin de fer, la culture attelée, les fermes-écoles, l'éducation féminine et l'alphabétisation, la poste rurale et les jardins d'essai. Pionnier en tout, inlassable, il amène à Paris pour l'Exposition de 1889 le premier "Village sénégalais", dessine ou peint ses voyages et note les mélodies qui les ont parfois accompagnés. Commencé aux Folies-Bergère et aux Folies Dramatiques de Paris, l'étrange parcours professionnel d'Ernest Noirot, amoureux et rudoyeur d'Afrique, s'achèvera dans sa petite ville natale par un glacial après-midi de décembre.
Mais à Kaolack, au Sénégal, un pont (deuxième du nom) témoigne toujours, cent quinze ans après, de son oeuvre et de son originalité.
Déconcertant et sulfureux parfois, il imagine le chemin de fer, la culture attelée, les fermes-écoles, l'éducation féminine et l'alphabétisation, la poste rurale et les jardins d'essai. Pionnier en tout, inlassable, il amène à Paris pour l'Exposition de 1889 le premier "Village sénégalais", dessine ou peint ses voyages et note les mélodies qui les ont parfois accompagnés. Commencé aux Folies-Bergère et aux Folies Dramatiques de Paris, l'étrange parcours professionnel d'Ernest Noirot, amoureux et rudoyeur d'Afrique, s'achèvera dans sa petite ville natale par un glacial après-midi de décembre.
Mais à Kaolack, au Sénégal, un pont (deuxième du nom) témoigne toujours, cent quinze ans après, de son oeuvre et de son originalité.
"Histrion", photographe fantaisiste, impertinent et mal léché, inopinément confronté à l'Afrique, Ernest Noirot, aux multiples vertus, aux innombrables défauts, aura irrité, indigné ou au contraire séduit tous ses chefs successifs. Découvreur, avec le docteur Bayol, en 1881, d'un Fouta-Dialo guinéen encore indépendant et théocratique, il reviendra en 1897 le "casser" sans ménagement. Partout où il passe, au Sénégal comme en Guinée, pendant vingt-cinq ans, commandant à poigne mais réalisateur infatigable, il organise, invente et construit.
Déconcertant et sulfureux parfois, il imagine le chemin de fer, la culture attelée, les fermes-écoles, l'éducation féminine et l'alphabétisation, la poste rurale et les jardins d'essai. Pionnier en tout, inlassable, il amène à Paris pour l'Exposition de 1889 le premier "Village sénégalais", dessine ou peint ses voyages et note les mélodies qui les ont parfois accompagnés. Commencé aux Folies-Bergère et aux Folies Dramatiques de Paris, l'étrange parcours professionnel d'Ernest Noirot, amoureux et rudoyeur d'Afrique, s'achèvera dans sa petite ville natale par un glacial après-midi de décembre.
Mais à Kaolack, au Sénégal, un pont (deuxième du nom) témoigne toujours, cent quinze ans après, de son oeuvre et de son originalité.
Déconcertant et sulfureux parfois, il imagine le chemin de fer, la culture attelée, les fermes-écoles, l'éducation féminine et l'alphabétisation, la poste rurale et les jardins d'essai. Pionnier en tout, inlassable, il amène à Paris pour l'Exposition de 1889 le premier "Village sénégalais", dessine ou peint ses voyages et note les mélodies qui les ont parfois accompagnés. Commencé aux Folies-Bergère et aux Folies Dramatiques de Paris, l'étrange parcours professionnel d'Ernest Noirot, amoureux et rudoyeur d'Afrique, s'achèvera dans sa petite ville natale par un glacial après-midi de décembre.
Mais à Kaolack, au Sénégal, un pont (deuxième du nom) témoigne toujours, cent quinze ans après, de son oeuvre et de son originalité.