Ernest-Antoine Seilliere. Un Heritier Du Capitalisme Dynastique

Par : Jean Magniadas

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  • Nombre de pages73
  • PrésentationBroché
  • Poids0.07 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 0,5 cm
  • ISBN2-913462-11-1
  • EAN9782913462113
  • Date de parution01/01/2002
  • ÉditeurVo Editions

Résumé

A travers la saga des familles Seillère et deWendel. ce livre aide à comprendre les mécanismes qui ont conduit à l'édification et à la structuration du capitalisme depuis le début du 19e siècle. Il nous montre comment la grande bourgeoisie s'est substituée à l'aristocratie et par quel chemin elle s'est constituée un patrimoine héréditaire et a maintenu son pouvoir sur les leviers politiques, économiques et culturels de la société. De bout en bout, elle s'est nourrie du labeur d'une autre catégorie sociale qui lui est indissociablement liée et dont elle a besoin pour perpétuer son pouvoir, du prolétaire d'hier au salarié d'aujourd'hui. Ainsi, nous percevons mieux le rôle d'un Ernest-Antoine Seillère de Laborde, grand financier et baron de son état, devenu leader du patronat qui, sous un discours moderniste, dissimule une volonté féroce de préserver les intérêts de son camp. Plus de doute : la lutte de classe, ce soi-disant mythe ringard et éculé, a encore de beaux jours devant elle.
A travers la saga des familles Seillère et deWendel. ce livre aide à comprendre les mécanismes qui ont conduit à l'édification et à la structuration du capitalisme depuis le début du 19e siècle. Il nous montre comment la grande bourgeoisie s'est substituée à l'aristocratie et par quel chemin elle s'est constituée un patrimoine héréditaire et a maintenu son pouvoir sur les leviers politiques, économiques et culturels de la société. De bout en bout, elle s'est nourrie du labeur d'une autre catégorie sociale qui lui est indissociablement liée et dont elle a besoin pour perpétuer son pouvoir, du prolétaire d'hier au salarié d'aujourd'hui. Ainsi, nous percevons mieux le rôle d'un Ernest-Antoine Seillère de Laborde, grand financier et baron de son état, devenu leader du patronat qui, sous un discours moderniste, dissimule une volonté féroce de préserver les intérêts de son camp. Plus de doute : la lutte de classe, ce soi-disant mythe ringard et éculé, a encore de beaux jours devant elle.
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