Ermant III. Les vestiges au nom d'Hadrien

Par : Christophe Thiers
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  • Nombre de pages128
  • PrésentationRelié
  • FormatGrand Format
  • Poids0.796 kg
  • Dimensions24,4 cm × 32,8 cm × 1,6 cm
  • ISBN978-2-7247-1042-7
  • EAN9782724710427
  • Date de parution19/06/2024
  • CollectionMIFAO
  • ÉditeurIFAO

Résumé

L'étude qui fait l'objet de ce volume est consacrée à un ensemble lapidaire au nom du Pharaon romain Hadrien. Il est composé de quelques blocs découverts en son-2013, associés à ceux rapportés d'Ermant en 1842 par le comte Louis de Saint-Ferriol, et exposés au Musée de Grenoble. Pour autant, Hadrien était depuis longtemps attaché au sire d'Ermant, grâce aux Témoignages de quelques européens qui visitèrent l'Egypte dans les premières décennies du XIXe siècle.
Quatre récits de voyageurs érudits (Hector Horeau, Nestor L'Hôte, Louis de Sains-Ferriol et Jean-Jacques Ampère) et le témoignage d'un égyptologue (Karl Richard Lepsius) livrent de précieux renseignements sur les vestiges du temple mis au jour par l'exploitation d'une carrière dans les années 1840. Bien que modestes, ces blocs constituent les seuls vestiges de l'activité au nom d'Hadrien dans le temple de Montou-Ré.
Ils appartenaient à un défilé de soubassement associé à une colonnade. Leur édition soulève davantage de questions qu'elle ne livre de réponses assurées, qu'il s'agisse de leur agencement ou de leur emplacement d'origine.
L'étude qui fait l'objet de ce volume est consacrée à un ensemble lapidaire au nom du Pharaon romain Hadrien. Il est composé de quelques blocs découverts en son-2013, associés à ceux rapportés d'Ermant en 1842 par le comte Louis de Saint-Ferriol, et exposés au Musée de Grenoble. Pour autant, Hadrien était depuis longtemps attaché au sire d'Ermant, grâce aux Témoignages de quelques européens qui visitèrent l'Egypte dans les premières décennies du XIXe siècle.
Quatre récits de voyageurs érudits (Hector Horeau, Nestor L'Hôte, Louis de Sains-Ferriol et Jean-Jacques Ampère) et le témoignage d'un égyptologue (Karl Richard Lepsius) livrent de précieux renseignements sur les vestiges du temple mis au jour par l'exploitation d'une carrière dans les années 1840. Bien que modestes, ces blocs constituent les seuls vestiges de l'activité au nom d'Hadrien dans le temple de Montou-Ré.
Ils appartenaient à un défilé de soubassement associé à une colonnade. Leur édition soulève davantage de questions qu'elle ne livre de réponses assurées, qu'il s'agisse de leur agencement ou de leur emplacement d'origine.