Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
"Ce poème évoque une affaire des plus extraordinaires qui s'est déroulée sous le règne de la présente dynastie, celle des Ming, une histoire engagée...
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"Ce poème évoque une affaire des plus extraordinaires qui s'est déroulée sous le règne de la présente dynastie, celle des Ming, une histoire engagée et parachevée par la mystérieuse union des sentiments, alors que l'homosexualité masculine se passe le plus souvent de ces commencements et de cette plénitude. Les amateurs n'y sont pas ipso facto de vrais amants.
Cette chronique nous parle d'un jeune étudiant d'à peine quinze ans qui vivait à la sous-préfecture de Jiangu. Du nom de Zhao, prénommé Wangsun et répondant au sobriquet Liaojian, ce garçon avait un beau visage allongé, des yeux vifs et une chevelure pendante qui lui tombait jusqu'aux épaules, d'un noir de laque brillante. "
Ce roman érotique anonyme du XVIIe siècle, remarquablement traduit du chinois par André Lévy, était inédit à ce jour.
Publié aujourd'hui, il réjouira le lecteur par sa légèreté et sa liberté de ton.