A travers Linnea, jeune fille un brin paumée, caustique et terriblement attachante, Katarina Mazetti explore les questions essentielles et les désordres inhérents à l'adolescence.
L'amour, l'amitié, la mort, la famille, Dieu, tout y passe!
L'histoire est agréablement servie par une galerie de personnages tendres et loufoques: de la grand-mère originale à la meilleure amie presque siamoise, de l'inaccessible Markus à Henrik le pot de colle; chacun trouve sa place dans le petit monde un peu bancal de notre héroïne.
C'est avec émotion que l'on suit Linnea jusqu'à «La fin
n'est que le début», dernier roman d'une trilogie sur l'adieu à l'enfance et l'apprentissage de la vie.
Entre Dieu et moi, c'est fini
« On n'a pas de statut quand on perd un ami ! Si ton mari meurt, tu deviens veuve... si c'est ton meilleur ami qui meurt, les gens te demandent après quelque temps pourquoi tu broies encore du noir. » C'est ainsi que nous parle Linnea, jeune fille de 15 ans, dont la meilleure amie vient de mourir. Sur un ton à la fois plein d'humour et de tendresse, la jeune fille aborde le sujet de la mort, de l'amour mais surtout de la vie. Katarina Mazetti nous offre une fois de plus un roman tendre et cruel sur l'adolescence, s'adressant tout aussi bien aux jeunes qu'aux adultes.