Ensorcelés par la mort. Récits
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- Nombre de pages215
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.26 kg
- Dimensions13,3 cm × 20,1 cm × 1,9 cm
- ISBN2-259-02791-1
- EAN9782259027915
- Date de parution01/03/1995
- CollectionFeux croisés
- ÉditeurPlon
Résumé
" Une époque s'en va. Celle des mensonges sublimes... " Découvrir un beau jour, souvent au terme de toute une vie de sacrifices, qu'ils ont été les dupes d'un mythe qui reposait sur leur aveuglement et se nourrissait de leur abnégation - c'est un choc que certains Russes ont tant de mal à supporter qu'ils préfèrent se donner la mort plutôt que de survivre à l'effondrement de leur idéal. Après Les Cercueils de zinc, recueil de témoignages sur la guerre d'Afghanistan et ses ravages dans la psychologie des Soviétiques, la journaliste Svetlana Alexievitch nous livre ici un matériau brut et poignant, les confessions de ceux qui ont tenter de se suicider, ou de l'entourage de ceux qui ont renoncé à la vie.
S'effaçant derrière ces femmes et ces hommes de toutes conditions, jeunes et moins jeunes, toujours sincères, elle donne la parole à ces déçus du communisme qui furent les victimes consentantes, mais aussi les agents passifs et même parfois actifs d'une utopie meurtrière, d'un système fondé autant sur le mensonge et l'auto-illusion que sur la peur. " Le suicide en tant que phénomène individuel a toujours existé [en Russie].
Mais il arrive qu'il devienne un phénomène de société ", écrivait Nicolas Berdiaev. Et Svetlana Alexievitch ajoute : un phénomène politique.
S'effaçant derrière ces femmes et ces hommes de toutes conditions, jeunes et moins jeunes, toujours sincères, elle donne la parole à ces déçus du communisme qui furent les victimes consentantes, mais aussi les agents passifs et même parfois actifs d'une utopie meurtrière, d'un système fondé autant sur le mensonge et l'auto-illusion que sur la peur. " Le suicide en tant que phénomène individuel a toujours existé [en Russie].
Mais il arrive qu'il devienne un phénomène de société ", écrivait Nicolas Berdiaev. Et Svetlana Alexievitch ajoute : un phénomène politique.
" Une époque s'en va. Celle des mensonges sublimes... " Découvrir un beau jour, souvent au terme de toute une vie de sacrifices, qu'ils ont été les dupes d'un mythe qui reposait sur leur aveuglement et se nourrissait de leur abnégation - c'est un choc que certains Russes ont tant de mal à supporter qu'ils préfèrent se donner la mort plutôt que de survivre à l'effondrement de leur idéal. Après Les Cercueils de zinc, recueil de témoignages sur la guerre d'Afghanistan et ses ravages dans la psychologie des Soviétiques, la journaliste Svetlana Alexievitch nous livre ici un matériau brut et poignant, les confessions de ceux qui ont tenter de se suicider, ou de l'entourage de ceux qui ont renoncé à la vie.
S'effaçant derrière ces femmes et ces hommes de toutes conditions, jeunes et moins jeunes, toujours sincères, elle donne la parole à ces déçus du communisme qui furent les victimes consentantes, mais aussi les agents passifs et même parfois actifs d'une utopie meurtrière, d'un système fondé autant sur le mensonge et l'auto-illusion que sur la peur. " Le suicide en tant que phénomène individuel a toujours existé [en Russie].
Mais il arrive qu'il devienne un phénomène de société ", écrivait Nicolas Berdiaev. Et Svetlana Alexievitch ajoute : un phénomène politique.
S'effaçant derrière ces femmes et ces hommes de toutes conditions, jeunes et moins jeunes, toujours sincères, elle donne la parole à ces déçus du communisme qui furent les victimes consentantes, mais aussi les agents passifs et même parfois actifs d'une utopie meurtrière, d'un système fondé autant sur le mensonge et l'auto-illusion que sur la peur. " Le suicide en tant que phénomène individuel a toujours existé [en Russie].
Mais il arrive qu'il devienne un phénomène de société ", écrivait Nicolas Berdiaev. Et Svetlana Alexievitch ajoute : un phénomène politique.