Six mois se sont écoulés depuis les évènements qui ont secoué la vie paisible d’Annabelle, qui s’en remet difficilement.
(cf : »L’année où j’ai appris à mentir »)
On la retrouve avec un bonheur immense, toujours aussi profondément altruiste, spontanée, se posant mille (bonnes!) questions, entêtée et curieuse dans le bon sens du terme, ce qui l’amène à se mêler de la vie des autres, mais toujours pour la bonne cause…
Ces nouvelles aventures, dépeintes avec la poésie et la sensibilité , mais aussi l’humour qui caractérisent la plume de Lauren Wolk, nous parlent du privilège de grandir dans une cohésion familiale complice et épanouissante, de maltraitance animale, mais aussi malheureusement domestique, et enfin, de la possibilité de se racheter de ses fautes, ce qui s’apparenterait à une forme de rédemption salvatrice.
Terriblement attachant.
Six mois se sont écoulés depuis les évènements qui ont secoué la vie paisible d’Annabelle, qui s’en remet difficilement.
(cf : »L’année où j’ai appris à mentir »)
On la retrouve avec un bonheur immense, toujours aussi profondément altruiste, spontanée, se posant mille (bonnes!) questions, entêtée et curieuse dans le bon sens du terme, ce qui l’amène à se mêler de la vie des autres, mais toujours pour la bonne cause…
Ces nouvelles aventures, dépeintes avec la poésie et la sensibilité , mais aussi l’humour qui caractérisent la plume de Lauren Wolk, nous parlent du privilège de grandir dans une cohésion familiale complice et épanouissante, de maltraitance animale, mais aussi malheureusement domestique, et enfin, de la possibilité de se racheter de ses fautes, ce qui s’apparenterait à une forme de rédemption salvatrice.
Terriblement attachant.