Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
En juin 1952, Soeur Magdeleine, la fondatrice des Petites Sœurs de Jésus, arrive en pleine Amazonie et laisse en repartant trois de ses jeunes soeurs,...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 1 octobre et le 3 octobre
En librairie
Résumé
En juin 1952, Soeur Magdeleine, la fondatrice des Petites Sœurs de Jésus, arrive en pleine Amazonie et laisse en repartant trois de ses jeunes soeurs, dans l'une des régions les plus pauvres du Brésil, au coeur de la tribu des Tapirapé. À l'époque, cette dernière, réduite à quarante-sept membres, était en train de se laisser mourir. Plus de cinquante ans après, les Tapirapé représentent une population de plus de cinq cents membres. Les Diaires (journal des Fraternités), qui retracent la vie de cette fraternité de juin 52 à la fin 1954, nous font découvrir comment ces trois Petites Soeurs de tout juste 22-28 ans s'enfouissent " sans esprit de retour ", apprennent la langue et gagnent la confiance des Tapirapé au point que ceux-ci, se sentant reconnus dans leur dignité, retrouvent le goût de la vie et " renaissent " littéralement. Au point de créer une école dans leur village pour leurs propres enfants. Le " récit au quotidien " de ce livre nous révèle comment ces Petites Soeurs font une analyse quasi ethnologique de cette tribu d'Indiens d'Amazonie afin de mieux s'y insérer. Il nous raconte à la fois la manière de vivre des fraternités des Petites Soeurs de Jésus dans l'extrême pauvreté, et la contemplation conjointe de Jésus et de ceux dont elles tentent de partager la vie. Et comment encore, " Signe des temps ", cette attention à l'autre et l'étonnante disponibilité intérieure qu'elle requiert les conduisent à une reconversion du sens de leur présence : " À cette époque, nous avions le désir de faire participer les Tapirapé aux fêtes chrétiennes pour les introduire peu à peu dans la connaissance de Jésus-Christ à travers l'Église. Plus tard, nous avons choisi de ne pas nous immiscer dans la religion traditionnelle des Tapirapé mais de pratiquer le dialogue interreligieux ".
Sommaire
ANNEE 1952
Diaire de petite sœur Magdelaine de Jésus lors de son premier séjour chez les Tapirapé
Diaire de la fraternité du Tapirapé
Mois d'août 1952
ANNEE 1953
Mois de janvier 1953
Mois de février 1953
Mois de mars 1953
ANNEE 1954
Mois de janvier 1954
Mois de février 1954
Voyage au village Kayapo du 14 février au 29 mars 1954