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Emmanuelle Pireyre. Ecrire, enquêter, performer
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- Nombre de pages150
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.186 kg
- Dimensions14,0 cm × 18,0 cm × 1,8 cm
- ISBN979-10-92173-90-1
- EAN9791092173901
- Date de parution16/10/2025
- CollectionBruits de langues
- ÉditeurL'Ire des marges
- ContributeurOlivia Rosenthal
- ContributeurOlivier Bosson
- ContributeurJean-Charles Massera
- ContributeurEstelle Mouton-rovira
Résumé
Un ouvrage collectif sur l'oeuvre d'Emmanuelle Pireyre composé à partir d'entretiens avec l'autrice et coordonné par Cécile Chatelet. Pour donner à voir et à lire l'oeuvre plurielle d'Emmanuelle Pireyre, Cécile Chatelet a réuni une équipe composée d'Olivia Rosenthal (écrivaine et professeure des universités), Estelle Mouton-Rovira (maîtresse de conférences spécialiste de littérature contemporaine), Olivier Bosson (artiste, auteurs de films et de performances) et Jean- Charles Massera (écrivain, réalisateur, auteur de plusieurs réalisations sonores et installations).
Toutes et tous se sont lancés dans un échange singulier avec Emmanuelle Pireyre, pour relire avec elle son oeuvre et lui proposer de réagir à leurs interrogations. De l'écriture à la performance, de la poésie au récit, le travail d'Emmanuelle Pireyre repense depuis 25 ans notre rapport aux discours contemporains et aux médias, avec vivacité et fantaisie. Emmanuelle Pireyre aime les formes expérimentales : le montage de textes courts (Féérie générale, 2012), la poésie, sous forme de recueil (Congélations et décongélations et autres traitements appliqués aux circonstances, 2000) mais également lorsqu'elle se glisse dans le récit.
Ses narrations mêlent l'humour à des sujets éminemment politiques : les organismes génétiquement modifiés (Chimère, 2019), la crise écologique (Laissez-nous juste le temps de vous détruire, 2011) et la place sociale des femmes (Comment faire disparaître la terre ? , 2016). La question médiatique est au coeur de ses oeuvres, entre réflexion sur les formes que l'on trouve à la télévision comme le journal de 20 heures (Machine anti-machine, 2024) ou celle de la télé-réalité (dans la performance Mes vêtements ne sont pas des draps de lit, 2000) et recherche autour de la langue d'internet.
C'est aussi la voix qui préoccupe l'autrice : celle des autres, dans ses livres, qui travaillent aussi tant la langue orale que la langue écrite, et la sienne, qu'il faut chercher lorsqu'on réalise des performances ou qu'on écrit des fictions radiophoniques (La danse est-elle dangereuse pour les jeunes filles ? , 2001, La philosophie blindée du convoyeur de fonds, 2006, Oui mais nous, comment on fait pour notre exposé ? , avec Jean-Charles Massera, 2014).
Face à l'oeuvre protéiforme d'Emmanuelle Pireyre, qui s'aventure également du côté de la recherche, avec un travail de collecte et de réflexion sur la performance narrative, les discussions avec l'autrice présentes dans ce livre éclairent une oeuvre cristallisant plusieurs enjeux majeurs de la littérature contemporaine.
Toutes et tous se sont lancés dans un échange singulier avec Emmanuelle Pireyre, pour relire avec elle son oeuvre et lui proposer de réagir à leurs interrogations. De l'écriture à la performance, de la poésie au récit, le travail d'Emmanuelle Pireyre repense depuis 25 ans notre rapport aux discours contemporains et aux médias, avec vivacité et fantaisie. Emmanuelle Pireyre aime les formes expérimentales : le montage de textes courts (Féérie générale, 2012), la poésie, sous forme de recueil (Congélations et décongélations et autres traitements appliqués aux circonstances, 2000) mais également lorsqu'elle se glisse dans le récit.
Ses narrations mêlent l'humour à des sujets éminemment politiques : les organismes génétiquement modifiés (Chimère, 2019), la crise écologique (Laissez-nous juste le temps de vous détruire, 2011) et la place sociale des femmes (Comment faire disparaître la terre ? , 2016). La question médiatique est au coeur de ses oeuvres, entre réflexion sur les formes que l'on trouve à la télévision comme le journal de 20 heures (Machine anti-machine, 2024) ou celle de la télé-réalité (dans la performance Mes vêtements ne sont pas des draps de lit, 2000) et recherche autour de la langue d'internet.
C'est aussi la voix qui préoccupe l'autrice : celle des autres, dans ses livres, qui travaillent aussi tant la langue orale que la langue écrite, et la sienne, qu'il faut chercher lorsqu'on réalise des performances ou qu'on écrit des fictions radiophoniques (La danse est-elle dangereuse pour les jeunes filles ? , 2001, La philosophie blindée du convoyeur de fonds, 2006, Oui mais nous, comment on fait pour notre exposé ? , avec Jean-Charles Massera, 2014).
Face à l'oeuvre protéiforme d'Emmanuelle Pireyre, qui s'aventure également du côté de la recherche, avec un travail de collecte et de réflexion sur la performance narrative, les discussions avec l'autrice présentes dans ce livre éclairent une oeuvre cristallisant plusieurs enjeux majeurs de la littérature contemporaine.
Un ouvrage collectif sur l'oeuvre d'Emmanuelle Pireyre composé à partir d'entretiens avec l'autrice et coordonné par Cécile Chatelet. Pour donner à voir et à lire l'oeuvre plurielle d'Emmanuelle Pireyre, Cécile Chatelet a réuni une équipe composée d'Olivia Rosenthal (écrivaine et professeure des universités), Estelle Mouton-Rovira (maîtresse de conférences spécialiste de littérature contemporaine), Olivier Bosson (artiste, auteurs de films et de performances) et Jean- Charles Massera (écrivain, réalisateur, auteur de plusieurs réalisations sonores et installations).
Toutes et tous se sont lancés dans un échange singulier avec Emmanuelle Pireyre, pour relire avec elle son oeuvre et lui proposer de réagir à leurs interrogations. De l'écriture à la performance, de la poésie au récit, le travail d'Emmanuelle Pireyre repense depuis 25 ans notre rapport aux discours contemporains et aux médias, avec vivacité et fantaisie. Emmanuelle Pireyre aime les formes expérimentales : le montage de textes courts (Féérie générale, 2012), la poésie, sous forme de recueil (Congélations et décongélations et autres traitements appliqués aux circonstances, 2000) mais également lorsqu'elle se glisse dans le récit.
Ses narrations mêlent l'humour à des sujets éminemment politiques : les organismes génétiquement modifiés (Chimère, 2019), la crise écologique (Laissez-nous juste le temps de vous détruire, 2011) et la place sociale des femmes (Comment faire disparaître la terre ? , 2016). La question médiatique est au coeur de ses oeuvres, entre réflexion sur les formes que l'on trouve à la télévision comme le journal de 20 heures (Machine anti-machine, 2024) ou celle de la télé-réalité (dans la performance Mes vêtements ne sont pas des draps de lit, 2000) et recherche autour de la langue d'internet.
C'est aussi la voix qui préoccupe l'autrice : celle des autres, dans ses livres, qui travaillent aussi tant la langue orale que la langue écrite, et la sienne, qu'il faut chercher lorsqu'on réalise des performances ou qu'on écrit des fictions radiophoniques (La danse est-elle dangereuse pour les jeunes filles ? , 2001, La philosophie blindée du convoyeur de fonds, 2006, Oui mais nous, comment on fait pour notre exposé ? , avec Jean-Charles Massera, 2014).
Face à l'oeuvre protéiforme d'Emmanuelle Pireyre, qui s'aventure également du côté de la recherche, avec un travail de collecte et de réflexion sur la performance narrative, les discussions avec l'autrice présentes dans ce livre éclairent une oeuvre cristallisant plusieurs enjeux majeurs de la littérature contemporaine.
Toutes et tous se sont lancés dans un échange singulier avec Emmanuelle Pireyre, pour relire avec elle son oeuvre et lui proposer de réagir à leurs interrogations. De l'écriture à la performance, de la poésie au récit, le travail d'Emmanuelle Pireyre repense depuis 25 ans notre rapport aux discours contemporains et aux médias, avec vivacité et fantaisie. Emmanuelle Pireyre aime les formes expérimentales : le montage de textes courts (Féérie générale, 2012), la poésie, sous forme de recueil (Congélations et décongélations et autres traitements appliqués aux circonstances, 2000) mais également lorsqu'elle se glisse dans le récit.
Ses narrations mêlent l'humour à des sujets éminemment politiques : les organismes génétiquement modifiés (Chimère, 2019), la crise écologique (Laissez-nous juste le temps de vous détruire, 2011) et la place sociale des femmes (Comment faire disparaître la terre ? , 2016). La question médiatique est au coeur de ses oeuvres, entre réflexion sur les formes que l'on trouve à la télévision comme le journal de 20 heures (Machine anti-machine, 2024) ou celle de la télé-réalité (dans la performance Mes vêtements ne sont pas des draps de lit, 2000) et recherche autour de la langue d'internet.
C'est aussi la voix qui préoccupe l'autrice : celle des autres, dans ses livres, qui travaillent aussi tant la langue orale que la langue écrite, et la sienne, qu'il faut chercher lorsqu'on réalise des performances ou qu'on écrit des fictions radiophoniques (La danse est-elle dangereuse pour les jeunes filles ? , 2001, La philosophie blindée du convoyeur de fonds, 2006, Oui mais nous, comment on fait pour notre exposé ? , avec Jean-Charles Massera, 2014).
Face à l'oeuvre protéiforme d'Emmanuelle Pireyre, qui s'aventure également du côté de la recherche, avec un travail de collecte et de réflexion sur la performance narrative, les discussions avec l'autrice présentes dans ce livre éclairent une oeuvre cristallisant plusieurs enjeux majeurs de la littérature contemporaine.