A la différence du pet qui trouve toujours une chaise pour pondérer ses effets, le rot n'a, dans le meilleur des cas, que le privilège de l'étouffement, au mieux celui de la discrétion pour parer à tous les regards narquois.
A la différence du pet qui trouve toujours une chaise pour pondérer ses effets, le rot n'a, dans le meilleur des cas, que le privilège de l'étouffement, au mieux celui de la discrétion pour parer à tous les regards narquois.