Eloge Du Parasite Suivi De Eloge De La Danse & Eloge De La Mouche
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- Nombre de pages108
- PrésentationBroché
- Poids0.18 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,0 cm
- ISBN2-86959-545-X
- EAN9782869595453
- Date de parution31/05/2001
- CollectionRetour aux grands textes
- ÉditeurArléa
Résumé
Dans l'Eloge du parasite, Lucien fait dialoguer un parasite, Simon, avec un de ses amis. Ce dialogue est un chef-d'œuvre cruel et comique : l'occasion est trop belle, pour Lucien, de rappeler que, tous autant qu'ils sont, les philosophes sont toujours fort préoccupés par ce qu'ils vont trouver dans leur assiette, et l'éloge du parasite tourne vite à la satire impitoyable des orateurs et des philosophes, qui ne rêvent, au fond, que de devenir eux-mêmes parasites.
Avec Eloge de la danse, nous avons l'écrit le plus complet que nous ait légué l'Antiquité sur un art que manifestement elle a toujours tenu en haute estime.
Un auteur comme Lucien donne le meilleur de lui-même dans ce texte, où l'érudition se mêle à des considérations morales, enrichies de toutes sortes d'anecdotes savoureuses.
Quant à l'Eloge de la mouche, il s'apparente à ces discours que les sophistes prononçaient devant un public de connaisseurs, où le sujet traité n'était qu'une occasion de faire admirer leur virtuosité rhétorique.
Ces trois textes sont traduits par Claude Terreaux, à qui l'on doit déjà, dans la même collection, des traductions de Lucien, mais aussi d'Esope, Hésiode, Synésios...
Dans l'Eloge du parasite, Lucien fait dialoguer un parasite, Simon, avec un de ses amis. Ce dialogue est un chef-d'œuvre cruel et comique : l'occasion est trop belle, pour Lucien, de rappeler que, tous autant qu'ils sont, les philosophes sont toujours fort préoccupés par ce qu'ils vont trouver dans leur assiette, et l'éloge du parasite tourne vite à la satire impitoyable des orateurs et des philosophes, qui ne rêvent, au fond, que de devenir eux-mêmes parasites.
Avec Eloge de la danse, nous avons l'écrit le plus complet que nous ait légué l'Antiquité sur un art que manifestement elle a toujours tenu en haute estime.
Un auteur comme Lucien donne le meilleur de lui-même dans ce texte, où l'érudition se mêle à des considérations morales, enrichies de toutes sortes d'anecdotes savoureuses.
Quant à l'Eloge de la mouche, il s'apparente à ces discours que les sophistes prononçaient devant un public de connaisseurs, où le sujet traité n'était qu'une occasion de faire admirer leur virtuosité rhétorique.
Ces trois textes sont traduits par Claude Terreaux, à qui l'on doit déjà, dans la même collection, des traductions de Lucien, mais aussi d'Esope, Hésiode, Synésios...