Eloge De La Nouvelle Chevalerie. Vie De Saint Malachie. Epitaphe, Hymne, Lettres. Edition Bilingue Francais-Latin

Par : Pierre-Yves Emery, Bernard de Clairvaux

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  • Nombre de pages486
  • PrésentationBroché
  • Poids0.485 kg
  • Dimensions12,5 cm × 19,5 cm × 3,4 cm
  • ISBN2-204-04280-3
  • EAN9782204042802
  • Date de parution01/01/1990
  • CollectionSources Chrétiennes
  • ÉditeurCerf

Résumé

"Eloge de la nouvelle chevalerie" D'un écrit de circonstance - un manifeste pour rassurer les premiers chevaliers du Temple face à l'insolite de leur vocation, et pour la justifier au regard du monde -, saint Bernard a su faire beaucoup plus : le portrait du vrai chevalier, défenseur de la justice, au lieu du batailleur brouillon et du pilleur impénitent qu'il devenait de plus en plus. La seconde partie du traité, où la géographie de la Terre sainte est utilisée pour esquisser un itinéraire spirituel, plaira par son originalité et sa force suggestive.
"Vie de saint Malachie" En se pliant de très bon gré aux règles traditionnelles de l'hagiographie, saint Bernard s'acquitte ici d'une dette d'affection : dans une tonalité souvent très personnelle, et avec ferveur, il célèbre la sainteté d'un ami très cher, un évêque irlandais, mort à Clairvaux entre ses bras. Mais, à travers celui de l'ami, c'est le portrait du véritable évêque que l'auteur entend tracer : un évêque moine, un évêque selon l'évangile, un authentique pasteur.
Il y a toujours une intention réformatrice dans les écrits de l'abbé de Clairvaux.
"Eloge de la nouvelle chevalerie" D'un écrit de circonstance - un manifeste pour rassurer les premiers chevaliers du Temple face à l'insolite de leur vocation, et pour la justifier au regard du monde -, saint Bernard a su faire beaucoup plus : le portrait du vrai chevalier, défenseur de la justice, au lieu du batailleur brouillon et du pilleur impénitent qu'il devenait de plus en plus. La seconde partie du traité, où la géographie de la Terre sainte est utilisée pour esquisser un itinéraire spirituel, plaira par son originalité et sa force suggestive.
"Vie de saint Malachie" En se pliant de très bon gré aux règles traditionnelles de l'hagiographie, saint Bernard s'acquitte ici d'une dette d'affection : dans une tonalité souvent très personnelle, et avec ferveur, il célèbre la sainteté d'un ami très cher, un évêque irlandais, mort à Clairvaux entre ses bras. Mais, à travers celui de l'ami, c'est le portrait du véritable évêque que l'auteur entend tracer : un évêque moine, un évêque selon l'évangile, un authentique pasteur.
Il y a toujours une intention réformatrice dans les écrits de l'abbé de Clairvaux.