Elle s'appelait Elsa. Un amour franco-allemand entre les guerres

Par : Monique Bernard
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  • Nombre de pages167
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.33 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-37535-110-9
  • EAN9782375351109
  • Date de parution01/11/2019
  • CollectionLignage
  • ÉditeurParaiges (Editions des)

Résumé

A l'aube du XXe siècle, un jeune Français de bonne famille, voyageant en Allemagne, tombe amoureux de La fille d'un aubergiste. Ils décident d'unir leurs destinées, malgré l'opposition du père au mariage de son fils aîné avec La Boche. Les amoureux ne cèdent pas aux exigences parentales. Eugène amène son Elsa à Montpellier où elle se fera peu à peu une place. Le couple aura huit enfants dont six survivront au-delà de leur deuxième année.
Les épreuves ne feront que consolider leur amour. Un siècle plus tard, ils comptaient déjà plus de quatre cents descendants. Parmi eux, des cousins qui me parlèrent de leur grand-mère, de sa difficile installation en France, entre deux guerres franco-allemandes, de ses souffrances jusqu'à ce qu'elle réussisse à se faire accepter dans ce milieu si différent de celui où elle avait grandi. Ils m'apportèrent des documents sur elle et une chronique familiale rédigée par son fils, à partir de leurs archives et de ce qu'il avait pu reconstituer de cette histoire peu connue, sur laquelle planait encore l'ombre du secret et du mystère.
Et c'est alors que j'ai commencé à m'intéresser à sa vie, en même temps que je découvrais son nom. Elle s'appelait Elsa.
A l'aube du XXe siècle, un jeune Français de bonne famille, voyageant en Allemagne, tombe amoureux de La fille d'un aubergiste. Ils décident d'unir leurs destinées, malgré l'opposition du père au mariage de son fils aîné avec La Boche. Les amoureux ne cèdent pas aux exigences parentales. Eugène amène son Elsa à Montpellier où elle se fera peu à peu une place. Le couple aura huit enfants dont six survivront au-delà de leur deuxième année.
Les épreuves ne feront que consolider leur amour. Un siècle plus tard, ils comptaient déjà plus de quatre cents descendants. Parmi eux, des cousins qui me parlèrent de leur grand-mère, de sa difficile installation en France, entre deux guerres franco-allemandes, de ses souffrances jusqu'à ce qu'elle réussisse à se faire accepter dans ce milieu si différent de celui où elle avait grandi. Ils m'apportèrent des documents sur elle et une chronique familiale rédigée par son fils, à partir de leurs archives et de ce qu'il avait pu reconstituer de cette histoire peu connue, sur laquelle planait encore l'ombre du secret et du mystère.
Et c'est alors que j'ai commencé à m'intéresser à sa vie, en même temps que je découvrais son nom. Elle s'appelait Elsa.