El Hadj El Hachemi Guerouabi

Par : Youcef Dris

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  • Nombre de pages125
  • PrésentationRelié
  • Poids0.895 kg
  • Dimensions21,5 cm × 28,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-35270-041-8
  • EAN9782352700418
  • Date de parution04/03/2008
  • ÉditeurNon Lieu Editions
  • PréfacierRadouane Mohammedi

Résumé

Avec la disparition de cheikh El Hadj El Hachemi Guerouabi le 18 juillet 2006, la musique algérienne perdait l'un de ses plus illustres représentants. La voix langoureuse, qui avait chanté avec tant de passion, de chaleur et de générosité le chaâbi, plus particulièrement le haouzi, appartient désormais au passé. Cet enfant de Belcourt, cet autodidacte formé à l'école de la rue et nourri de sagesse algéroise, était resté fermement attaché à ses racines, ancré dans une tradition ancestrale qu'il voulait défendre, mais il avait pris conscience qu'une innovation dans le style s'imposait pour rallier les nouvelles générations à la musique chaâbie. S'il aimait confronter sa poésie musicale au scintillement des instruments modernes de ses confrères d'Orient et d'Occident, il parvenait toujours à faire jaillir sa vérité algérienne à travers une sonorité et une déclamation uniques, Avec lui, la tradition musicale du peuple algérien, dont il était l'un des gardiens après la disparition du maître El Anka, affirmait toute sa légitimité. Adulé par les jeunes et les moins jeunes, et bien au-delà des frontières de son pays, El Hadj El Hachemi Guerouabi était devenu l'un des artistes phares de la scène musicale algérienne et maghrébine. Le plus bel éloge lui avait été rendu par Mahieddine Bachtarzi, le " père de la chanson et du théâtre algériens ", qui le présentait dans ses mémoires comme le " meilleur de sa génération ".
Avec la disparition de cheikh El Hadj El Hachemi Guerouabi le 18 juillet 2006, la musique algérienne perdait l'un de ses plus illustres représentants. La voix langoureuse, qui avait chanté avec tant de passion, de chaleur et de générosité le chaâbi, plus particulièrement le haouzi, appartient désormais au passé. Cet enfant de Belcourt, cet autodidacte formé à l'école de la rue et nourri de sagesse algéroise, était resté fermement attaché à ses racines, ancré dans une tradition ancestrale qu'il voulait défendre, mais il avait pris conscience qu'une innovation dans le style s'imposait pour rallier les nouvelles générations à la musique chaâbie. S'il aimait confronter sa poésie musicale au scintillement des instruments modernes de ses confrères d'Orient et d'Occident, il parvenait toujours à faire jaillir sa vérité algérienne à travers une sonorité et une déclamation uniques, Avec lui, la tradition musicale du peuple algérien, dont il était l'un des gardiens après la disparition du maître El Anka, affirmait toute sa légitimité. Adulé par les jeunes et les moins jeunes, et bien au-delà des frontières de son pays, El Hadj El Hachemi Guerouabi était devenu l'un des artistes phares de la scène musicale algérienne et maghrébine. Le plus bel éloge lui avait été rendu par Mahieddine Bachtarzi, le " père de la chanson et du théâtre algériens ", qui le présentait dans ses mémoires comme le " meilleur de sa génération ".