Editocrates sous perfusion. Les aides publiques à la presse, trente ans de gabegie
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- Nombre de pages112
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.105 kg
- Dimensions11,0 cm × 16,6 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-918059-50-9
- EAN9782918059509
- Date de parution04/09/2014
- CollectionA boulets rouges
- ÉditeurLibertalia
Résumé
" Les journaux et magazines "de référence" publient régulièrement de longues exhortations à "réduire la dépense publique", et des anathèmes contre "la France des assistés". Mais depuis trente ans, ces mêmes publications sont littéralement gavées de millions d'euros d'aides publiques - qui ne servent à rien, puisque la presse écrite continue de s'enfoncer dans une crise structurelle. Mais qui représentent jusqu'à 12 % de leur chiffre d'affaires.
Cette gabegie, documentée par de nombreux rapports, est de celles qui font généralement, pour les journalistes spécialisés dans la chasse à "l'assistanat" et aux "gaspillages", un scandale réussi. Or la révélation que le contribuable nantit la presse écrite de gigantesques subventions ne leur inspire aucun commentaire. Car ici, le silence est d'or. "
Cette gabegie, documentée par de nombreux rapports, est de celles qui font généralement, pour les journalistes spécialisés dans la chasse à "l'assistanat" et aux "gaspillages", un scandale réussi. Or la révélation que le contribuable nantit la presse écrite de gigantesques subventions ne leur inspire aucun commentaire. Car ici, le silence est d'or. "
" Les journaux et magazines "de référence" publient régulièrement de longues exhortations à "réduire la dépense publique", et des anathèmes contre "la France des assistés". Mais depuis trente ans, ces mêmes publications sont littéralement gavées de millions d'euros d'aides publiques - qui ne servent à rien, puisque la presse écrite continue de s'enfoncer dans une crise structurelle. Mais qui représentent jusqu'à 12 % de leur chiffre d'affaires.
Cette gabegie, documentée par de nombreux rapports, est de celles qui font généralement, pour les journalistes spécialisés dans la chasse à "l'assistanat" et aux "gaspillages", un scandale réussi. Or la révélation que le contribuable nantit la presse écrite de gigantesques subventions ne leur inspire aucun commentaire. Car ici, le silence est d'or. "
Cette gabegie, documentée par de nombreux rapports, est de celles qui font généralement, pour les journalistes spécialisés dans la chasse à "l'assistanat" et aux "gaspillages", un scandale réussi. Or la révélation que le contribuable nantit la presse écrite de gigantesques subventions ne leur inspire aucun commentaire. Car ici, le silence est d'or. "