Ecriture et psychose : lire l'illisible

Par : Laurence Aubry
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  • Nombre de pages223
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.412 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-35412-330-7
  • EAN9782354123307
  • Date de parution27/09/2018
  • CollectionEtudes
  • ÉditeurPU Perpignan

Résumé

Cet ouvrage collectif est né du questionnement d'un psychiatre, le Dr. Bernard Odier, constatant la place prise par l'écriture dans le travail avec certains de ses patients. Il a cherché, et trouvé, dans l'auteure, une " femme de lettres " pour partager et prolonger ses réflexions. D'autres praticiens exerçant dans les Pyrénées-Orientales, que rapprochent leur amitié pour Henri Ey et la fidélité à sa pensée cultivant l'hospitalité, ont jugé comme nous bienvenu de reprendre actuellement ces questions, en amenant à dialoguer des psychanalystes, des littéraires, des linguistes, des philosophes, des soignants, des animateurs..., tous, ou presque, écrivants.
La psychanalyse met l'accent sur l'écoute et la parole. Pourtant des patients psychotiques semblent préférer l'écriture... Ce livre a pour ambition d'éclairer, depuis l'expérience de cliniciens, ce que l'affection de patients psychotiques pour l'écriture peut nous apprendre de leur folie, de la nôtre, et encore de la littérature, dans ses potentialités créatrices et relationnelles, dans ses chausse-trappes aussi.
Son écriture se tisse du va-et-vient entre l'expérience avec des malades et l'étude de nos grands écrivains. Eux qui ont pu vivre avec la part de psychose en eux, à condition d'en faire une oeuvre, nous invitant aussi au deuil d'une vision par trop idéalisée de l'écriture, bien loin, dans leur cas, d'être sans reste...
Cet ouvrage collectif est né du questionnement d'un psychiatre, le Dr. Bernard Odier, constatant la place prise par l'écriture dans le travail avec certains de ses patients. Il a cherché, et trouvé, dans l'auteure, une " femme de lettres " pour partager et prolonger ses réflexions. D'autres praticiens exerçant dans les Pyrénées-Orientales, que rapprochent leur amitié pour Henri Ey et la fidélité à sa pensée cultivant l'hospitalité, ont jugé comme nous bienvenu de reprendre actuellement ces questions, en amenant à dialoguer des psychanalystes, des littéraires, des linguistes, des philosophes, des soignants, des animateurs..., tous, ou presque, écrivants.
La psychanalyse met l'accent sur l'écoute et la parole. Pourtant des patients psychotiques semblent préférer l'écriture... Ce livre a pour ambition d'éclairer, depuis l'expérience de cliniciens, ce que l'affection de patients psychotiques pour l'écriture peut nous apprendre de leur folie, de la nôtre, et encore de la littérature, dans ses potentialités créatrices et relationnelles, dans ses chausse-trappes aussi.
Son écriture se tisse du va-et-vient entre l'expérience avec des malades et l'étude de nos grands écrivains. Eux qui ont pu vivre avec la part de psychose en eux, à condition d'en faire une oeuvre, nous invitant aussi au deuil d'une vision par trop idéalisée de l'écriture, bien loin, dans leur cas, d'être sans reste...