Ecrits spirituels de "la sainte de Porcaro" (1736-1769)
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- Nombre de pages280
- PrésentationBroché
- Poids0.374 kg
- Dimensions14,7 cm × 21,0 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-85589-807-0
- EAN9782855898070
- Date de parution09/11/2012
- CollectionFlèche de Feu
- ÉditeurAbbaye de Bellefontaine
- Directeur de publicationGianfranco Maria Tuveri
Résumé
Qui peut s'intéresser à une inconnue ou presque ? Ce livre est l'édition des lettres et cahiers spirituels de Madeleine Morice, portant sur les cinq dernières années de sa vie. Des écrits qui ont été conservés aux châteaux de Porcaro et de la Voltais (Morbihan). On y trouve en particulier la correspondance avec son Père spirituel, auquel elle se confie en grande obéissance. Elle témoigne de ses craintes d'être dupée par le démon, et elle rapporte aussi, parce que cela lui est demandé, les grâces de sa vie.
Son cheminement spirituel dans l'oraison présente tout à la fois les traces du combat, de son néant, et des expériences mystiques jusqu'à la stigmatisation. Madeleine Morice n'était qu'une simple servante, employée à la journée dans un château ou couturière, pourtant son écriture est claire et expressive, prenant soin de décrire ou de dire qu'il n'est pas toujours possible de mettre des mots. Cette tertiaire du Carmel a non seulement pratiqué l'oraison, mais elle a encore mené à bien l'inspiration de son Maître pour instruire gratuitement et chrétiennement les enfants pauvres à Guer.
Sitôt après sa mort, se développe un mouvement de vénération pour celle que l'on appelle "la sainte de Porcaro".
Son cheminement spirituel dans l'oraison présente tout à la fois les traces du combat, de son néant, et des expériences mystiques jusqu'à la stigmatisation. Madeleine Morice n'était qu'une simple servante, employée à la journée dans un château ou couturière, pourtant son écriture est claire et expressive, prenant soin de décrire ou de dire qu'il n'est pas toujours possible de mettre des mots. Cette tertiaire du Carmel a non seulement pratiqué l'oraison, mais elle a encore mené à bien l'inspiration de son Maître pour instruire gratuitement et chrétiennement les enfants pauvres à Guer.
Sitôt après sa mort, se développe un mouvement de vénération pour celle que l'on appelle "la sainte de Porcaro".
Qui peut s'intéresser à une inconnue ou presque ? Ce livre est l'édition des lettres et cahiers spirituels de Madeleine Morice, portant sur les cinq dernières années de sa vie. Des écrits qui ont été conservés aux châteaux de Porcaro et de la Voltais (Morbihan). On y trouve en particulier la correspondance avec son Père spirituel, auquel elle se confie en grande obéissance. Elle témoigne de ses craintes d'être dupée par le démon, et elle rapporte aussi, parce que cela lui est demandé, les grâces de sa vie.
Son cheminement spirituel dans l'oraison présente tout à la fois les traces du combat, de son néant, et des expériences mystiques jusqu'à la stigmatisation. Madeleine Morice n'était qu'une simple servante, employée à la journée dans un château ou couturière, pourtant son écriture est claire et expressive, prenant soin de décrire ou de dire qu'il n'est pas toujours possible de mettre des mots. Cette tertiaire du Carmel a non seulement pratiqué l'oraison, mais elle a encore mené à bien l'inspiration de son Maître pour instruire gratuitement et chrétiennement les enfants pauvres à Guer.
Sitôt après sa mort, se développe un mouvement de vénération pour celle que l'on appelle "la sainte de Porcaro".
Son cheminement spirituel dans l'oraison présente tout à la fois les traces du combat, de son néant, et des expériences mystiques jusqu'à la stigmatisation. Madeleine Morice n'était qu'une simple servante, employée à la journée dans un château ou couturière, pourtant son écriture est claire et expressive, prenant soin de décrire ou de dire qu'il n'est pas toujours possible de mettre des mots. Cette tertiaire du Carmel a non seulement pratiqué l'oraison, mais elle a encore mené à bien l'inspiration de son Maître pour instruire gratuitement et chrétiennement les enfants pauvres à Guer.
Sitôt après sa mort, se développe un mouvement de vénération pour celle que l'on appelle "la sainte de Porcaro".