Ecrits politiques 1945-1997. Volume 2, La question du mouvement ouvrier Tome 2

Par : Cornelius Castoriadis

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  • Nombre de pages573
  • PrésentationBroché
  • Poids1.04 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,6 cm × 3,6 cm
  • ISBN978-2-35821-082-9
  • EAN9782358210829
  • Date de parution03/09/2012
  • ÉditeurSandre (Editions du)
  • AnnotateurEnrique Escobar
  • AnnotateurMyrto Gondicas
  • AnnotateurPascal Vernay

Résumé

Economiste, philosophe, psychanalyste, Castoriadis fut tout cela, certes, mais les textes rassemblés ici n'ont de rapport que très indirect avec la production ordinaire des praticiens de ces trois disciplines. Ils n'entretiennent, soulignons-le, aucun rapport avec la "politologie", la "sociologie" ou la "soviétologie". A vrai dire, il semblerait que nous ne disposions plus de mot immédiatement intelligible pour désigner ceux qui réfléchissent sur la société et veulent, en dehors de tel ou tel cadre établi, l'influencer de façon plus ou moins directe.
C'est pourtant ce que faisaient très exactement, parmi tant d'autres, les auteurs du Prince, du Deuxième traité du gouvernement civil ou du Manifeste communiste. Dans ces œuvres, nous ne voyons plus désormais que des "classiques" de certaines disciplines, de leur préhistoire plutôt, puisque celles-ci seraient parvenues de nos jours à une mystérieuse maturité. Mais on oublie en général que si ces ouvrages ont valu à leurs auteurs d'entrer dans des traités universitaires et savants, c'est, pour ainsi dire, faute de mieux : ils auraient préféré de beaucoup gagner d'autres batailles.
Celles, justement, qui les poussèrent à prendre la plume. Ecrivain politique est sans doute le terme le plus juste pour ce genre d'auteurs, du moins pour une partie de leur œuvre, et c'est également celui qui convient le mieux à Castoriadis.
Economiste, philosophe, psychanalyste, Castoriadis fut tout cela, certes, mais les textes rassemblés ici n'ont de rapport que très indirect avec la production ordinaire des praticiens de ces trois disciplines. Ils n'entretiennent, soulignons-le, aucun rapport avec la "politologie", la "sociologie" ou la "soviétologie". A vrai dire, il semblerait que nous ne disposions plus de mot immédiatement intelligible pour désigner ceux qui réfléchissent sur la société et veulent, en dehors de tel ou tel cadre établi, l'influencer de façon plus ou moins directe.
C'est pourtant ce que faisaient très exactement, parmi tant d'autres, les auteurs du Prince, du Deuxième traité du gouvernement civil ou du Manifeste communiste. Dans ces œuvres, nous ne voyons plus désormais que des "classiques" de certaines disciplines, de leur préhistoire plutôt, puisque celles-ci seraient parvenues de nos jours à une mystérieuse maturité. Mais on oublie en général que si ces ouvrages ont valu à leurs auteurs d'entrer dans des traités universitaires et savants, c'est, pour ainsi dire, faute de mieux : ils auraient préféré de beaucoup gagner d'autres batailles.
Celles, justement, qui les poussèrent à prendre la plume. Ecrivain politique est sans doute le terme le plus juste pour ce genre d'auteurs, du moins pour une partie de leur œuvre, et c'est également celui qui convient le mieux à Castoriadis.
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