Ecrits, 1956-1978. Dissolution et jaillissement

Par : Nagisa Oshima
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  • Nombre de pages368
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.56 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,5 cm × 3,0 cm
  • ISBN2-07-020711-0
  • EAN9782070207114
  • Date de parution21/02/1980
  • Collectioncahiers du cinéma
  • ÉditeurGallimard

Résumé

Oshima Nagisa est reconnu comme l'un des principaux cinéastes japonais contemporains. L'Empire des sens a connu un grand retentissement, prévu sans doute par les cinéphiles qui connaissaient déjà l'auteur, notamment par La Pendaison et La Cérémonie. Ce livre, qui recueille des articles de tons très différents - de la théorie cinématographique à l'autobiographie - permettra à ceux qui apprécient déjà Oshima de mieux le connaître, et à ceux qui en ont simplement «entendu parler» de le découvrir.
Le cinéaste s'y livre tout entier, avec ses désirs et ses échecs, ses conceptions et ses rêves. Il nous apprend avec simplicité son cheminement, ses débuts difficiles de cinéaste dans un monde où la recherche semble mal vue, l'exigence déplacée. Il secoue l'appareil du cinéma japonais traditionnel, prend les critiques à partie, vitupère ou loue ses confrères. Polémiste ? Certes, mais aussi davantage : on découvre - ce qui est rare - un homme aussi exigeant pour lui-même que pour les autres, capable de s'analyser et d'avouer ses défauts, ses lacunes.
A lui seul, il a de l'ambition pour le cinéma tout entier, dont la plus haute fonction n'est pas, selon lui, de décrire la réalité mais de pressentir l'avenir. Visionnaire ? Sans doute : n'est-ce pas la qualité suprême de l'artiste ?
Oshima Nagisa est reconnu comme l'un des principaux cinéastes japonais contemporains. L'Empire des sens a connu un grand retentissement, prévu sans doute par les cinéphiles qui connaissaient déjà l'auteur, notamment par La Pendaison et La Cérémonie. Ce livre, qui recueille des articles de tons très différents - de la théorie cinématographique à l'autobiographie - permettra à ceux qui apprécient déjà Oshima de mieux le connaître, et à ceux qui en ont simplement «entendu parler» de le découvrir.
Le cinéaste s'y livre tout entier, avec ses désirs et ses échecs, ses conceptions et ses rêves. Il nous apprend avec simplicité son cheminement, ses débuts difficiles de cinéaste dans un monde où la recherche semble mal vue, l'exigence déplacée. Il secoue l'appareil du cinéma japonais traditionnel, prend les critiques à partie, vitupère ou loue ses confrères. Polémiste ? Certes, mais aussi davantage : on découvre - ce qui est rare - un homme aussi exigeant pour lui-même que pour les autres, capable de s'analyser et d'avouer ses défauts, ses lacunes.
A lui seul, il a de l'ambition pour le cinéma tout entier, dont la plus haute fonction n'est pas, selon lui, de décrire la réalité mais de pressentir l'avenir. Visionnaire ? Sans doute : n'est-ce pas la qualité suprême de l'artiste ?