Ecologies sociales. Le souci du commun

Par : Pierre-Antoine Chardel, Bernard Reber

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  • Nombre de pages260
  • PrésentationBroché
  • Poids0.217 kg
  • Dimensions12,0 cm × 20,5 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-84190-237-8
  • EAN9782841902378
  • Date de parution19/11/2014
  • CollectionSituations et critiques
  • ÉditeurAventurine (L')

Résumé

Nous connaissons les termes d’écologie et même d’écologie politique, mais que recouvre celui, plus énigmatique, d’écologie sociale ? Cet ouvrage répond à cette question en revenant sur diverses acceptions de ce terme pourtant déjà ancien, que l’on rencontre notamment sous la plume d’auteurs aussi divers qu’André Gorz, Félix Guattari ou Gilberto Freyre. Un enjeu théorique de fond unit ces diverses approches : reconnaître que les sciences de la nature et de l’environnement ne peuvent se détourner de questions qui touchent la culture, le politique et le social.
Comme le soulignait avec vigueur le penseur américain Murray Bookchin, qui a popularisé la notion, la solution aux problèmes écologiques requiert avant tout de nouvelles formes d’institutionnalisation évolutives, devant épouser des dynamiques de participation citoyenne. Plus largement, les réponses aux problèmes écologiques nécessitent une réforme de nos imaginaires consuméristes, ainsi que de certaines représentations collectives dominantes relatives au fait technologique lui-même.
Le développement d’un modèle de société plus écologique se fera au prix d’un effort pour trouver un nouvel équilibre entre innovation technologique, résilience environnementale, et souci du commun.
Nous connaissons les termes d’écologie et même d’écologie politique, mais que recouvre celui, plus énigmatique, d’écologie sociale ? Cet ouvrage répond à cette question en revenant sur diverses acceptions de ce terme pourtant déjà ancien, que l’on rencontre notamment sous la plume d’auteurs aussi divers qu’André Gorz, Félix Guattari ou Gilberto Freyre. Un enjeu théorique de fond unit ces diverses approches : reconnaître que les sciences de la nature et de l’environnement ne peuvent se détourner de questions qui touchent la culture, le politique et le social.
Comme le soulignait avec vigueur le penseur américain Murray Bookchin, qui a popularisé la notion, la solution aux problèmes écologiques requiert avant tout de nouvelles formes d’institutionnalisation évolutives, devant épouser des dynamiques de participation citoyenne. Plus largement, les réponses aux problèmes écologiques nécessitent une réforme de nos imaginaires consuméristes, ainsi que de certaines représentations collectives dominantes relatives au fait technologique lui-même.
Le développement d’un modèle de société plus écologique se fera au prix d’un effort pour trouver un nouvel équilibre entre innovation technologique, résilience environnementale, et souci du commun.