Ecologie et distributisme. La planète des usagers

Par : Jean-Paul Lambert

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages127
  • PrésentationBroché
  • Poids0.195 kg
  • Dimensions13,6 cm × 21,6 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-7384-7224-9
  • EAN9782738472243
  • Date de parution09/12/1998
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

"Que voulons-nous ? Un capitalisme qui s'accommode des contraintes écologiques ou une révolution économique, sociale et culturelle qui abolit les contraintes du capitalisme et, par là même, instaure un nouveau rapport des hommes à leur environnement et à la nature ? Réforme ou révolution ?" Michel Bosquet posait la question en 1975. Jean-Paul Lambert y répond ici en distributiste. Les écologistes ne feront jamais d'écologie rigoureuse dans une économie qui ne connaît l'air, l'eau, la vie, qu'à condition de les vendre. Ni dans le cadre d'un salariat qui les oblige à collaborer à ce qu'ils abominent. Toutes sortes de produits et services sont aujourd'hui disponibles en abondance avec de moins en moins de travail humain. Au lieu de les stocker, de les détruire, d'édicter des quotas, distribuez aux usagers un revenu proportionnel à cette masse. Ils la renouvelleront en fonction de leurs usages et non plus des besoins du marché. Vous pourrez enfin mettre la question des usages au centre de la vie politique et renouer avec ce qu'il y a de plus novateur dans le message écologiste. Cet essai poursuit la présentation et l'actualisation du distributisme entreprises dans Le socialisme distributiste, Jacques Duboin, 1878-1976, et Le distributisme éthique et politique, la grande relève de la machine par les hommes.
"Que voulons-nous ? Un capitalisme qui s'accommode des contraintes écologiques ou une révolution économique, sociale et culturelle qui abolit les contraintes du capitalisme et, par là même, instaure un nouveau rapport des hommes à leur environnement et à la nature ? Réforme ou révolution ?" Michel Bosquet posait la question en 1975. Jean-Paul Lambert y répond ici en distributiste. Les écologistes ne feront jamais d'écologie rigoureuse dans une économie qui ne connaît l'air, l'eau, la vie, qu'à condition de les vendre. Ni dans le cadre d'un salariat qui les oblige à collaborer à ce qu'ils abominent. Toutes sortes de produits et services sont aujourd'hui disponibles en abondance avec de moins en moins de travail humain. Au lieu de les stocker, de les détruire, d'édicter des quotas, distribuez aux usagers un revenu proportionnel à cette masse. Ils la renouvelleront en fonction de leurs usages et non plus des besoins du marché. Vous pourrez enfin mettre la question des usages au centre de la vie politique et renouer avec ce qu'il y a de plus novateur dans le message écologiste. Cet essai poursuit la présentation et l'actualisation du distributisme entreprises dans Le socialisme distributiste, Jacques Duboin, 1878-1976, et Le distributisme éthique et politique, la grande relève de la machine par les hommes.