Ecole et démocratie. Pour remettre en route l'ascenseur économique et social

Par : Daniel Bloch

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  • Nombre de pages128
  • PrésentationBroché
  • Poids0.18 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-7061-1600-1
  • EAN9782706116001
  • Date de parution07/05/2010
  • CollectionRegards sur l'éducation
  • ÉditeurPUG

Résumé

Dès le cours préparatoire, deux élèves sur dix sont en difficulté. C'est quatre fois plus que dans les pays qui sont en tête du classement. La plupart d'entre eux demeureront en difficulté jusqu'à la sortie du Collège et rejoindront plus tard la cohorte des chômeurs. Inversement un élève sur dix seulement est bon ou très bon, alors que de nombreux pays en dénombrent deux fois plus. Seul un tiers de nos jeunes obtient un baccalauréat général qui constitue le baccalauréat le mieux adapté à la poursuite des études supérieures. Il ne faut donc pas s'étonner que notre pays produise deux fois moins de diplômés de niveau universitaire qu'il n'en faudrait pour faire face à la concurrence économique. De plus, la séparation entre grandes écoles et universités, entre les établissements d'enseignement et de recherche, et entre la science et la technologie prive notre pays de prix Nobel, et du rayonnement qui leur est associé, ainsi que des innovations qui auraient contribué à combler le déficit de nos échanges commerciaux avec le reste du monde. La solution : un système scolaire plus démocratique.
Dès le cours préparatoire, deux élèves sur dix sont en difficulté. C'est quatre fois plus que dans les pays qui sont en tête du classement. La plupart d'entre eux demeureront en difficulté jusqu'à la sortie du Collège et rejoindront plus tard la cohorte des chômeurs. Inversement un élève sur dix seulement est bon ou très bon, alors que de nombreux pays en dénombrent deux fois plus. Seul un tiers de nos jeunes obtient un baccalauréat général qui constitue le baccalauréat le mieux adapté à la poursuite des études supérieures. Il ne faut donc pas s'étonner que notre pays produise deux fois moins de diplômés de niveau universitaire qu'il n'en faudrait pour faire face à la concurrence économique. De plus, la séparation entre grandes écoles et universités, entre les établissements d'enseignement et de recherche, et entre la science et la technologie prive notre pays de prix Nobel, et du rayonnement qui leur est associé, ainsi que des innovations qui auraient contribué à combler le déficit de nos échanges commerciaux avec le reste du monde. La solution : un système scolaire plus démocratique.