Dunkerque sous ses multiples pavillons. De l'approche de l'an mil à l'éclosion du troisième millénaire, 11 siècles d'une riche histoire

Par : André Merck

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  • Nombre de pages304
  • PrésentationBroché
  • Poids0.98 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,5 cm × 2,4 cm
  • ISBN2-913132-53-7
  • EAN9782913132535
  • Date de parution01/10/2003
  • CollectionMémoires de Flandres et Artois
  • ÉditeurPunch
  • PréfacierMichel Delebarre

Résumé

Surgie des eaux du Golfe Flandrien au IXème siècle, Dunkerque connaît les dominations bourguignonne, autrichienne, espagnole, hollandaise, anglaise, avant de devenir enfin française sous Louis XIV en 1662. Les habitants qui supportent guerres sur terre, sur mer, incendies, et saccages de leur ville conserveront leur particularisme solide, opiniâtre qui ne les fera jamais céder sous l'adversité. La Révolution Française sera moins violente qu'ailleurs du fait de la proximité de la frontière par où pourraient s'engouffrer les ennemis de la France. Ils le feront mais la victoire d'Hondschoote de 1793 les repoussera. Les Dunkerquois se rallient à Napoléon Ier au retour du Roi, à Louis-Philippe, à Napoléon III avant de connaître enfin sous la 3ème République le développement vital de leur port attendu avec impatience. L'esprit corsaire les anime encore. La première guerre mondiale a meurtri leur ville non occupée, la seconde l'a écrasée mais en 1940 le rembarquement des troupes britanniques l'a fait connaître dans le monde entier. La fermeture des chantiers navals est un coup dur mais l'avenir est prometteur. Le pouls de Dunkerque bat toujours très vite sous le beffroi, l'église Saint-Eloi et la statue de Jean Bart, sous la houlette de Michel Delebarre, maire depuis 1989.
Surgie des eaux du Golfe Flandrien au IXème siècle, Dunkerque connaît les dominations bourguignonne, autrichienne, espagnole, hollandaise, anglaise, avant de devenir enfin française sous Louis XIV en 1662. Les habitants qui supportent guerres sur terre, sur mer, incendies, et saccages de leur ville conserveront leur particularisme solide, opiniâtre qui ne les fera jamais céder sous l'adversité. La Révolution Française sera moins violente qu'ailleurs du fait de la proximité de la frontière par où pourraient s'engouffrer les ennemis de la France. Ils le feront mais la victoire d'Hondschoote de 1793 les repoussera. Les Dunkerquois se rallient à Napoléon Ier au retour du Roi, à Louis-Philippe, à Napoléon III avant de connaître enfin sous la 3ème République le développement vital de leur port attendu avec impatience. L'esprit corsaire les anime encore. La première guerre mondiale a meurtri leur ville non occupée, la seconde l'a écrasée mais en 1940 le rembarquement des troupes britanniques l'a fait connaître dans le monde entier. La fermeture des chantiers navals est un coup dur mais l'avenir est prometteur. Le pouls de Dunkerque bat toujours très vite sous le beffroi, l'église Saint-Eloi et la statue de Jean Bart, sous la houlette de Michel Delebarre, maire depuis 1989.