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"Face à la menace, maintenant si précise, du changement climatique, face à l'espoir aussi que représente la mobilisation mondiale sur ce sujet, que peut la littérature ? Que peuvent les mots face aux désastres annoncés ? Que peut encore le langage dans ce monde de l'image, de l'immédiateté, dans l'urgence où nous sommes ?" A la veille de la 21e Conférence des Nations unies sur les changements climatiques, qui se tient à Paris en décembre 2015, la Maison des écrivains et de la littérature, association dont la vocation est de fédérer les écrivains, de les représenter, et, grâce à eux, de promouvoir la littérature, a décidé de "monter au front sereinement ", parce qu'elle est convaincue que "la littérature peut et doit faire quelque chose." La Mel a demandé à trente-et-un écrivains associés en un "Parlement sensible des auteurs" de prendre la parole et d'écrire sur la crise climatique et écologique à laquelle nous sommes tous confrontés.
la langue pour la Cop21 Cop21 n°10
"La littérature peut et doit faire quelque chose".
L'initiative vient de plus jeune qu'eux (conseil régional des jeunes d'Île de France). Une invitation adressée à la maison des écrivains pour animer un Parlement sensible au Parlement sur le sujet. Il s'est tenu le 14 novembre 2015. le principe, réveiller les en réveillant la langue. chevillard se fend d'un rapport à sa manière, Brisac et Hoderlin encore, Boyer en poésie, Jarry reboot, Surya et la cause animale, brillant...lumineux... Le mot de la fin aux jeunes d'ïle de France :"J'ai fait un rêve. j'ai vu une trêve".... Tous ensemble !