Du Sens De L'Histoire Aux Pensees Uniques. Quelques Verites D'Un Ancien Depute Gaulliste

Par : Claude-Gérard Marcus

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  • Nombre de pages140
  • PrésentationBroché
  • Poids0.18 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-86839-763-8
  • EAN9782868397638
  • Date de parution27/11/2001
  • ÉditeurGuibert (François-Xavier de)

Résumé

Gaulliste, C.-G. Marcus croit à la liberté du choix. Il refuse d'accepter les soi-disant " vérités " imposées au nom de présupposés idéologiques, au premier rang desquels la notion de " sens de l'histoire " que, pendant de longues années, les marxistes ont imposée non seulement aux communistes et à leurs compagnons de route, mais aussi à une très large majorité des intellectuels. De la même manière, il dénonce la " pensée unique de gauche " qui s'impose par le biais des médias et a reconstruit notre histoire à la lumière de ses engagements sectaires ; mais il n'oublie pas non plus qu'une pensée unique de droite, libéralo-européenne, essaie aussi de s'imposer comme nouvel " horizon indépassable " de l'histoire... Il confronte son analyse avec les points d'application de la pensée unique de gauche : Vichy ; la guerre d'Algérie ; Israël, les Palestiniens et la politique arabe de la France ; le " mirage chinois " ; l'humanitarisme et la politique étrangère ; l'égalitarisme réducteur ; la démographie et le refus de la vie ; le paradoxe de la décentralisation. Il estime indispensable que l'on repense la vie politique en dépassant les tendances à la guerre civile permanente pour privilégier l'intérêt national face aux intérêts personnels ou partisans et le sens des réalités face aux idéologies.
Gaulliste, C.-G. Marcus croit à la liberté du choix. Il refuse d'accepter les soi-disant " vérités " imposées au nom de présupposés idéologiques, au premier rang desquels la notion de " sens de l'histoire " que, pendant de longues années, les marxistes ont imposée non seulement aux communistes et à leurs compagnons de route, mais aussi à une très large majorité des intellectuels. De la même manière, il dénonce la " pensée unique de gauche " qui s'impose par le biais des médias et a reconstruit notre histoire à la lumière de ses engagements sectaires ; mais il n'oublie pas non plus qu'une pensée unique de droite, libéralo-européenne, essaie aussi de s'imposer comme nouvel " horizon indépassable " de l'histoire... Il confronte son analyse avec les points d'application de la pensée unique de gauche : Vichy ; la guerre d'Algérie ; Israël, les Palestiniens et la politique arabe de la France ; le " mirage chinois " ; l'humanitarisme et la politique étrangère ; l'égalitarisme réducteur ; la démographie et le refus de la vie ; le paradoxe de la décentralisation. Il estime indispensable que l'on repense la vie politique en dépassant les tendances à la guerre civile permanente pour privilégier l'intérêt national face aux intérêts personnels ou partisans et le sens des réalités face aux idéologies.