Corinne Bayle est professeur de littérature française à lEcole normale supérieure de Lyon. Elle a publié des ouvrages consacrés à Reverdy (Une poétique de la marge, Champion, 1993), Nerval (La Marche à létoile, Champ Vallon, 2001 ; LInconsolé, Aden, 2008), Gautier (LArt moderne, Fage, 2011 ; Lettres des Dioscures, correspondance avec Nerval, CNRS, 2011) et récemment, Eluard (Paul Eluard. Le Coeur absolu. Etude de Capitale de la douleur (1926), Rouen, Presses universitaires de Rouen et du Havre, 2013).
Du paradis. Journal de Poméranie (1792-1804)
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- Nombre de pages159
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.232 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-84840-051-8
- EAN9782848400518
- Date de parution13/08/2010
- ÉditeurAden - Bruxelles
Résumé
Dans une vieille demeure au bord de la Baltique, une jeune fille rêve son existence, espérant aller étudier à Dresde où. avec Caspar David Friedrich, s'invente la peinture de paysage. Avide de savoir, elle lit, elle écrit, dans l'ombre de son frère Wilhelm qui lui fait connaître ses amis philosophes, et d'abord le plus singulier d'entre eux, le poète Friedrich von Hardenberg - Novalis - pour lequel elle éprouve bientôt des sentiments exaltés.
A Iéna, elle se lie avec Caroline, l'épouse d'August Schlegel. puis de Schelling. Avec Friedrich Schlegel, Ludwig Tieck, Clemens Brentano, tous partagent le goût des discussions passionnées et des amitiés intellectuelles, dans l'admiration critique des oeuvres de Schiller et de Goethe. Ce roman d'apprentissage, scellant l'amour à l'oeuvre d'art, emprunte ainsi des détails à des figures authentiques, redistribués d'un personnage à l'autre, entre fiction et réalité.
La narratrice de ce journal de jeunesse pourrait être la soeur imaginaire de Wackenroder, une lointaine cousine de Bettina von Arnim ou de Caroline von Günderode, l'une de ces inspiratrices qui accompagnèrent l'aventure du premier Romantisme allemand. Et si la mort est omniprésente dans ces pages, elle n'est que l'envers de la vie la plus ardente, avec pour horizon l'absolu.
A Iéna, elle se lie avec Caroline, l'épouse d'August Schlegel. puis de Schelling. Avec Friedrich Schlegel, Ludwig Tieck, Clemens Brentano, tous partagent le goût des discussions passionnées et des amitiés intellectuelles, dans l'admiration critique des oeuvres de Schiller et de Goethe. Ce roman d'apprentissage, scellant l'amour à l'oeuvre d'art, emprunte ainsi des détails à des figures authentiques, redistribués d'un personnage à l'autre, entre fiction et réalité.
La narratrice de ce journal de jeunesse pourrait être la soeur imaginaire de Wackenroder, une lointaine cousine de Bettina von Arnim ou de Caroline von Günderode, l'une de ces inspiratrices qui accompagnèrent l'aventure du premier Romantisme allemand. Et si la mort est omniprésente dans ces pages, elle n'est que l'envers de la vie la plus ardente, avec pour horizon l'absolu.
Dans une vieille demeure au bord de la Baltique, une jeune fille rêve son existence, espérant aller étudier à Dresde où. avec Caspar David Friedrich, s'invente la peinture de paysage. Avide de savoir, elle lit, elle écrit, dans l'ombre de son frère Wilhelm qui lui fait connaître ses amis philosophes, et d'abord le plus singulier d'entre eux, le poète Friedrich von Hardenberg - Novalis - pour lequel elle éprouve bientôt des sentiments exaltés.
A Iéna, elle se lie avec Caroline, l'épouse d'August Schlegel. puis de Schelling. Avec Friedrich Schlegel, Ludwig Tieck, Clemens Brentano, tous partagent le goût des discussions passionnées et des amitiés intellectuelles, dans l'admiration critique des oeuvres de Schiller et de Goethe. Ce roman d'apprentissage, scellant l'amour à l'oeuvre d'art, emprunte ainsi des détails à des figures authentiques, redistribués d'un personnage à l'autre, entre fiction et réalité.
La narratrice de ce journal de jeunesse pourrait être la soeur imaginaire de Wackenroder, une lointaine cousine de Bettina von Arnim ou de Caroline von Günderode, l'une de ces inspiratrices qui accompagnèrent l'aventure du premier Romantisme allemand. Et si la mort est omniprésente dans ces pages, elle n'est que l'envers de la vie la plus ardente, avec pour horizon l'absolu.
A Iéna, elle se lie avec Caroline, l'épouse d'August Schlegel. puis de Schelling. Avec Friedrich Schlegel, Ludwig Tieck, Clemens Brentano, tous partagent le goût des discussions passionnées et des amitiés intellectuelles, dans l'admiration critique des oeuvres de Schiller et de Goethe. Ce roman d'apprentissage, scellant l'amour à l'oeuvre d'art, emprunte ainsi des détails à des figures authentiques, redistribués d'un personnage à l'autre, entre fiction et réalité.
La narratrice de ce journal de jeunesse pourrait être la soeur imaginaire de Wackenroder, une lointaine cousine de Bettina von Arnim ou de Caroline von Günderode, l'une de ces inspiratrices qui accompagnèrent l'aventure du premier Romantisme allemand. Et si la mort est omniprésente dans ces pages, elle n'est que l'envers de la vie la plus ardente, avec pour horizon l'absolu.