Du musicien en général... au violoncelliste en particulier. Suivi de Les clefs du temps musical

Par : Xavier Gagnepain

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  • Nombre de pages233
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.236 kg
  • Dimensions12,0 cm × 17,0 cm × 1,6 cm
  • ISBN979-10-94642-20-7
  • EAN9791094642207
  • Date de parution14/09/2017
  • CollectionLa rue musicale
  • ÉditeurPhilharmonie de Paris

Résumé

L'univers infini du temps musical s'explore peu à peu. Il serait dommage que l'interprète en reste à une vision primaire du rythme, se limitant à tenter de jouer en mesure. Dans son travail et sur la scène, le musicien est un véritable médiateur du temps. Tel l'égyptologue face à ses hiéroglyphes, il a une responsabilité majeure : il doit tenter de reconstituer, par sa compréhension de la partition, la vie rythmique intérieure du compositeur...
qu'il lui faudra ensuite parvenir à transmettre au public. Le propos de l'auteur, étayé par l'étude spécifique de quelques exemples musicaux, n'a pas vocation à imposer, pour modèle, sa propre vision de l'interprétation. Tout au plus a-t-il tenté de contribuer à la réflexion de chacun face à un texte musical. Dans la pratique de la musique de chambre, le synchronisme et la fluidité reposent sur une vision commune du temps et de l'agogique.
La qualité du discours musical en dépend. Certains interprètes s'appuient sur des intuitions rythmiques très pertinentes mais peinent à les expliquer à leurs partenaires, d'autres ressentent confusément un inconfort rythmique sans y trouver réponse. Peut-être auront-ils entrevu, dans la démarche proposée ici, un chemin vers leurs propres solutions ? A travers la diversité des langages, on identifie peu à peu des spécificités et des traits communs.
L'étude d'une nouvelle oeuvre nous offre ainsi, à coup sûr, l'opportunité de résoudre de nouvelles équations. A terme, les solutions finissent par s'additionner pour constituer un véritable patrimoine.
L'univers infini du temps musical s'explore peu à peu. Il serait dommage que l'interprète en reste à une vision primaire du rythme, se limitant à tenter de jouer en mesure. Dans son travail et sur la scène, le musicien est un véritable médiateur du temps. Tel l'égyptologue face à ses hiéroglyphes, il a une responsabilité majeure : il doit tenter de reconstituer, par sa compréhension de la partition, la vie rythmique intérieure du compositeur...
qu'il lui faudra ensuite parvenir à transmettre au public. Le propos de l'auteur, étayé par l'étude spécifique de quelques exemples musicaux, n'a pas vocation à imposer, pour modèle, sa propre vision de l'interprétation. Tout au plus a-t-il tenté de contribuer à la réflexion de chacun face à un texte musical. Dans la pratique de la musique de chambre, le synchronisme et la fluidité reposent sur une vision commune du temps et de l'agogique.
La qualité du discours musical en dépend. Certains interprètes s'appuient sur des intuitions rythmiques très pertinentes mais peinent à les expliquer à leurs partenaires, d'autres ressentent confusément un inconfort rythmique sans y trouver réponse. Peut-être auront-ils entrevu, dans la démarche proposée ici, un chemin vers leurs propres solutions ? A travers la diversité des langages, on identifie peu à peu des spécificités et des traits communs.
L'étude d'une nouvelle oeuvre nous offre ainsi, à coup sûr, l'opportunité de résoudre de nouvelles équations. A terme, les solutions finissent par s'additionner pour constituer un véritable patrimoine.