Du monde capitaliste comme religion, ou comment célébrer la richesse en effaçant ce qui la produit ?
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- Nombre de pages204
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.273 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-902174-61-4
- EAN9782902174614
- Date de parution07/10/2021
- ÉditeurHumanité (Editions de l')
Résumé
Le seul paradis dont nous puissions rêver est-il "un paradis fiscal" ? La promesse de "faire travailler votre argent" est-elle un acte de foi bien raisonnable pour votre banquier ? Et si le monde capitaliste n'était,pas seulement une économie, une société et un Etat, mais aussi une religion comme le suggèrent Karl Marx et Walter Benjamin ? Une "religion de la vie quotidienne", non pas tournée vers l'au-delà mais vers un ici-bas qu'il faudrait aimer tel qu'il est, avec un culte sans dogme transcendant mais avec le concours de l'église bavarde des économistes, et enfermant bel et bien les représentations et les croyances des sociétés humaines dans lesquelles il s'installe.
Une religion des marchandises et de l'argent (une "société de consommation" et "une économie de marché") fondée sur l'effacement et le mépris du travail humain pourtant indispensable à la création des vraies richesses sociales.
Une religion des marchandises et de l'argent (une "société de consommation" et "une économie de marché") fondée sur l'effacement et le mépris du travail humain pourtant indispensable à la création des vraies richesses sociales.
Le seul paradis dont nous puissions rêver est-il "un paradis fiscal" ? La promesse de "faire travailler votre argent" est-elle un acte de foi bien raisonnable pour votre banquier ? Et si le monde capitaliste n'était,pas seulement une économie, une société et un Etat, mais aussi une religion comme le suggèrent Karl Marx et Walter Benjamin ? Une "religion de la vie quotidienne", non pas tournée vers l'au-delà mais vers un ici-bas qu'il faudrait aimer tel qu'il est, avec un culte sans dogme transcendant mais avec le concours de l'église bavarde des économistes, et enfermant bel et bien les représentations et les croyances des sociétés humaines dans lesquelles il s'installe.
Une religion des marchandises et de l'argent (une "société de consommation" et "une économie de marché") fondée sur l'effacement et le mépris du travail humain pourtant indispensable à la création des vraies richesses sociales.
Une religion des marchandises et de l'argent (une "société de consommation" et "une économie de marché") fondée sur l'effacement et le mépris du travail humain pourtant indispensable à la création des vraies richesses sociales.