Du haut des cieux, les étoiles

Par : Harry Brown

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  • Nombre de pages368
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.475 kg
  • Dimensions14,6 cm × 24,0 cm × 2,4 cm
  • ISBN978-2-330-05694-0
  • EAN9782330056940
  • Date de parution04/11/2015
  • CollectionL'Ouest, le vrai
  • ÉditeurActes Sud
  • TraducteurAgathe Neuve
  • PostfacierBertrand Tavernier

Résumé

1879. Depuis quinze ans, la guerre de Sécession est terminée, mais les blessures subies ne se sont pas cicatrisées, dans cette région montagneuse de l’Arizona. Les sentiments sont à vif et les passions attisées par les rancoeurs, les jalousies, les envies de revanche, sans oublier le désir sexuel et l’alcool. Une série de malentendus, de rumeurs et de présomptions va déclencher une cascade de violences, ainsi que des agressions contre Percy Randal, le rancher le plus riche de la région, ses fils et sa fille qui cache un terrible secret.
Cette violence finit par contaminer Arch Eastmere, l’enfant maudit du pays, usé par ses errances et ses mauvaises fortunes. Harry Brown réussit là une majestueuse chronique épi- que et intime, une oeuvre chorale et ample, avec des protagonistes puissants et complexes. Et de magnifiques personnages féminins. Ce roman fut «adapté» à l’écran en 1966 par Howard Hawks sous le titre El Dorado, avec John Wayne et Robert Mitchum.
Le réalisateur, contre le désir de sa scénariste, s’éloigna si radicalement du livre que le romancier tenta en vain de faire retirer son nom du générique de ce qui n’était qu’un avatar de Rio Bravo. La meilleure scène d’El Dorado est la seule qui provient du roman de Harry Brown.
1879. Depuis quinze ans, la guerre de Sécession est terminée, mais les blessures subies ne se sont pas cicatrisées, dans cette région montagneuse de l’Arizona. Les sentiments sont à vif et les passions attisées par les rancoeurs, les jalousies, les envies de revanche, sans oublier le désir sexuel et l’alcool. Une série de malentendus, de rumeurs et de présomptions va déclencher une cascade de violences, ainsi que des agressions contre Percy Randal, le rancher le plus riche de la région, ses fils et sa fille qui cache un terrible secret.
Cette violence finit par contaminer Arch Eastmere, l’enfant maudit du pays, usé par ses errances et ses mauvaises fortunes. Harry Brown réussit là une majestueuse chronique épi- que et intime, une oeuvre chorale et ample, avec des protagonistes puissants et complexes. Et de magnifiques personnages féminins. Ce roman fut «adapté» à l’écran en 1966 par Howard Hawks sous le titre El Dorado, avec John Wayne et Robert Mitchum.
Le réalisateur, contre le désir de sa scénariste, s’éloigna si radicalement du livre que le romancier tenta en vain de faire retirer son nom du générique de ce qui n’était qu’un avatar de Rio Bravo. La meilleure scène d’El Dorado est la seule qui provient du roman de Harry Brown.