Du forgeron au concessionnaire automobile 1912-1970. Henri Jean, citoyen de Forcalquier

Par : Marc Jean
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  • Nombre de pages95
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.35 kg
  • Dimensions21,2 cm × 21,0 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-917395-77-6
  • EAN9782917395776
  • Date de parution01/12/2019
  • ÉditeurEdition à façon (L')
  • PréfacierMiquèu Benedetto

Résumé

Il est dit : "Là où il y a une volonté, il y a un chemin..." Voilà qui s'applique pleinement à Henri Jean, natif de Forcalquier. Quittant la forge paternelle avant la guerre de 1914, il se forme chez les compagnons, puis il est engagé aux usines des Automobiles de la Buire à Lyon. En 1920, il ouvre un garage à Forcalquier, vendant des De Dion-Bouton, puis des Ford et des Mathis. En 1934, il devient concessionnaire Citroën et ouvre un nouveau garage à Manosque en 1945.
Traversant deux guerres, il met ensuite toute son énergie et son imagination à dynamiser et à promouvoir la vente des automobiles. Entouré de ses frères et de son personnel, il va même monter en Ford T jusqu'au sommet de la citadelle ! En 1964, parvenu au faîte de sa carrière après cinquante ans d'activité dans l'industrie et le commerce de l'automobile, il recevra de Valéry Giscard d'Estaing, alors ministre des Finances et des Affaires économiques, l'annonce de sa nomination comme chevalier de l'Ordre du mérite commercial et industriel.
Il est dit : "Là où il y a une volonté, il y a un chemin..." Voilà qui s'applique pleinement à Henri Jean, natif de Forcalquier. Quittant la forge paternelle avant la guerre de 1914, il se forme chez les compagnons, puis il est engagé aux usines des Automobiles de la Buire à Lyon. En 1920, il ouvre un garage à Forcalquier, vendant des De Dion-Bouton, puis des Ford et des Mathis. En 1934, il devient concessionnaire Citroën et ouvre un nouveau garage à Manosque en 1945.
Traversant deux guerres, il met ensuite toute son énergie et son imagination à dynamiser et à promouvoir la vente des automobiles. Entouré de ses frères et de son personnel, il va même monter en Ford T jusqu'au sommet de la citadelle ! En 1964, parvenu au faîte de sa carrière après cinquante ans d'activité dans l'industrie et le commerce de l'automobile, il recevra de Valéry Giscard d'Estaing, alors ministre des Finances et des Affaires économiques, l'annonce de sa nomination comme chevalier de l'Ordre du mérite commercial et industriel.