Du fanatisme dans la langue révolutionnaire ou de la persécution suscitée par les barbares du dix-huitième siècle, contre la religion chrétienne et ses ministres
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- Nombre de pages204
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.189 kg
- Dimensions11,9 cm × 18,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-84832-544-6
- EAN9782848325446
- Date de parution13/09/2022
- CollectionArtoithèque
- ÉditeurArtois Presses Université
- AnnotateurJean-Jacques Tatin-Gourier
Résumé
Dans son essai Du fanatisme dans la langue révolutionnaire publié au coeur du Directoire (1797), Jean-François Laharpe, homme de lettres autrefois proche des philosophes des Lumières, dénonce la "langue révolutionnaire" qui, selon lui, a conduit au pouvoir sans limites des Jacobins. Par-delà le procès véhément des menaces qui continuent de peser sur la pratique religieuse, Laharpe développe une réflexion sans précédent sur les liens politiques du dire et du faire, sur le caractère proprement performatif de la langue révolutionnaire.
De plus, attentif à la diversité des signes de la Révolution (fêtes de la Raison, abjurations publiques, instauration d'un nouveau calendrier etc.), Laharpe esquisse une véritable sémiologie du fait révolutionnaire. Nous reproduisons ici l'édition originale de l'essai de Laharpe, Du fanatisme dans la langue révolutionnaire, ou de la persécution suscitée par les barbares du XVIIIe siècle, contre la religion chrétienne et ses ministres.
Chez Migneret, A Paris, An V (1797).
De plus, attentif à la diversité des signes de la Révolution (fêtes de la Raison, abjurations publiques, instauration d'un nouveau calendrier etc.), Laharpe esquisse une véritable sémiologie du fait révolutionnaire. Nous reproduisons ici l'édition originale de l'essai de Laharpe, Du fanatisme dans la langue révolutionnaire, ou de la persécution suscitée par les barbares du XVIIIe siècle, contre la religion chrétienne et ses ministres.
Chez Migneret, A Paris, An V (1797).
Dans son essai Du fanatisme dans la langue révolutionnaire publié au coeur du Directoire (1797), Jean-François Laharpe, homme de lettres autrefois proche des philosophes des Lumières, dénonce la "langue révolutionnaire" qui, selon lui, a conduit au pouvoir sans limites des Jacobins. Par-delà le procès véhément des menaces qui continuent de peser sur la pratique religieuse, Laharpe développe une réflexion sans précédent sur les liens politiques du dire et du faire, sur le caractère proprement performatif de la langue révolutionnaire.
De plus, attentif à la diversité des signes de la Révolution (fêtes de la Raison, abjurations publiques, instauration d'un nouveau calendrier etc.), Laharpe esquisse une véritable sémiologie du fait révolutionnaire. Nous reproduisons ici l'édition originale de l'essai de Laharpe, Du fanatisme dans la langue révolutionnaire, ou de la persécution suscitée par les barbares du XVIIIe siècle, contre la religion chrétienne et ses ministres.
Chez Migneret, A Paris, An V (1797).
De plus, attentif à la diversité des signes de la Révolution (fêtes de la Raison, abjurations publiques, instauration d'un nouveau calendrier etc.), Laharpe esquisse une véritable sémiologie du fait révolutionnaire. Nous reproduisons ici l'édition originale de l'essai de Laharpe, Du fanatisme dans la langue révolutionnaire, ou de la persécution suscitée par les barbares du XVIIIe siècle, contre la religion chrétienne et ses ministres.
Chez Migneret, A Paris, An V (1797).