Du convenable et de l'inconvenant. Littérature française du XIXe siècle

Par : Sophie Pelletier, Véronique Cnockaert

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  • Nombre de pages192
  • PrésentationBroché
  • Poids0.288 kg
  • Dimensions15,2 cm × 22,8 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-923907-39-0
  • EAN9782923907390
  • Date de parution01/04/2016
  • CollectionFigura
  • ÉditeurPresses Université du Québec

Résumé

La littérature du XIXe siècle accorde beaucoup d’importance aux convenances. Si la bienséance impose à la vie en société ses lois implacables, celles-ci ne sont en revanche que rarement établies de façon claire et supposent tout un appareil de nuances difficiles à saisir, propres à chaque groupe ou paradigme culturel. La définition du convenable et de l’inconvenant se déplace constamment et paraît toute relative : à quoi s’agit-il de convenir ? Dès lors, à travers ces notions, la littérature interroge un rapport complexe à la norme et à la juste mesure, chaque écart cristallisant des enjeux sociaux, moraux, politiques, mais aussi esthétiques et poétiques.
Car la parole et l’écriture sont le lieu de toutes les inconvenances ; par elles, la littérature se voit et se dit elle-même, dans sa relation au groupe comme à la création.
La littérature du XIXe siècle accorde beaucoup d’importance aux convenances. Si la bienséance impose à la vie en société ses lois implacables, celles-ci ne sont en revanche que rarement établies de façon claire et supposent tout un appareil de nuances difficiles à saisir, propres à chaque groupe ou paradigme culturel. La définition du convenable et de l’inconvenant se déplace constamment et paraît toute relative : à quoi s’agit-il de convenir ? Dès lors, à travers ces notions, la littérature interroge un rapport complexe à la norme et à la juste mesure, chaque écart cristallisant des enjeux sociaux, moraux, politiques, mais aussi esthétiques et poétiques.
Car la parole et l’écriture sont le lieu de toutes les inconvenances ; par elles, la littérature se voit et se dit elle-même, dans sa relation au groupe comme à la création.