Lætitia Corbière a enseigné l'histoire contemporaine à l'IUT B de l'Université de Lille puis au Global Studies Institute de l'Université de Genève. En 2018, elle a soutenu une thèse d'histoire transnationale dans les universités de Lille et de Genève. Inscrites dans une perspective interdisciplinaire, ses recherches mêlent intimement approches culturelles, dimensions territoriales et considérations économiques. Elles portent sur plus spécifiquement sur les échanges musicaux transatlantiques et sur les relations entre villes et culture.
Du concert au show business. Les imprésarios au coeur des échanges internationaux (1850-1930)
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- Nombre de pages440
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.828 kg
- Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 2,4 cm
- ISBN978-2-36485-118-4
- EAN9782364851184
- Date de parution31/07/2023
- CollectionSymétrie recherche
- ÉditeurSymétrie
Résumé
Alors qu'au milieu du XIXe siècle, les tournées internationales prennent une ampleur inédite et changent de statut pour devenir le signe de la reconnaissance artistique, leur organisation sollicite des intermédiaires nouveaux, capables de faire face à des situations et à des contextes inattendus. Un nouveau métier émerge et s'affirme, celui d'imprésario, intermédiaire entre les artistes, les éditeurs et les salles de spectacles ou théâtres, à la croisée des champs économique et artistique.
C'est le début du show business. L'autrice met au jour le fonctionnement des échanges transatlantiques entre l'Europe et les Etats-Unis où cette profession va se développer considérablement. Elle s'appuie sur un important ensemble documentaire d'une grande variété : brochures, périodiques et correspondances en trois ou quatre langues, archives administratives et d'entreprises, presse et mémoires d'artistes, aussi bien européennes qu'américaines qui n'avait pas encore été exploitée de façon aussi systématique.
Laetitia Corbière se nourrit de travaux de la sociologie de l'art, de l'histoire sociale de la musique, de l'histoire des circulations et des mondialisations. Son analyse se situe à la conjonction de deux champs d'étude longtemps disjoints : l'art et l'économie des spectacles. Sa réflexion porte sur les rapports de domination culturelle entre aires géographico-culturelles, mais également sur les mutations de la puissance symbolique entre 1850 et 1930, alors que le centre de gravité du monde culturel bascule de l'Europe vers les Etats-Unis.
C'est le début du show business. L'autrice met au jour le fonctionnement des échanges transatlantiques entre l'Europe et les Etats-Unis où cette profession va se développer considérablement. Elle s'appuie sur un important ensemble documentaire d'une grande variété : brochures, périodiques et correspondances en trois ou quatre langues, archives administratives et d'entreprises, presse et mémoires d'artistes, aussi bien européennes qu'américaines qui n'avait pas encore été exploitée de façon aussi systématique.
Laetitia Corbière se nourrit de travaux de la sociologie de l'art, de l'histoire sociale de la musique, de l'histoire des circulations et des mondialisations. Son analyse se situe à la conjonction de deux champs d'étude longtemps disjoints : l'art et l'économie des spectacles. Sa réflexion porte sur les rapports de domination culturelle entre aires géographico-culturelles, mais également sur les mutations de la puissance symbolique entre 1850 et 1930, alors que le centre de gravité du monde culturel bascule de l'Europe vers les Etats-Unis.
Alors qu'au milieu du XIXe siècle, les tournées internationales prennent une ampleur inédite et changent de statut pour devenir le signe de la reconnaissance artistique, leur organisation sollicite des intermédiaires nouveaux, capables de faire face à des situations et à des contextes inattendus. Un nouveau métier émerge et s'affirme, celui d'imprésario, intermédiaire entre les artistes, les éditeurs et les salles de spectacles ou théâtres, à la croisée des champs économique et artistique.
C'est le début du show business. L'autrice met au jour le fonctionnement des échanges transatlantiques entre l'Europe et les Etats-Unis où cette profession va se développer considérablement. Elle s'appuie sur un important ensemble documentaire d'une grande variété : brochures, périodiques et correspondances en trois ou quatre langues, archives administratives et d'entreprises, presse et mémoires d'artistes, aussi bien européennes qu'américaines qui n'avait pas encore été exploitée de façon aussi systématique.
Laetitia Corbière se nourrit de travaux de la sociologie de l'art, de l'histoire sociale de la musique, de l'histoire des circulations et des mondialisations. Son analyse se situe à la conjonction de deux champs d'étude longtemps disjoints : l'art et l'économie des spectacles. Sa réflexion porte sur les rapports de domination culturelle entre aires géographico-culturelles, mais également sur les mutations de la puissance symbolique entre 1850 et 1930, alors que le centre de gravité du monde culturel bascule de l'Europe vers les Etats-Unis.
C'est le début du show business. L'autrice met au jour le fonctionnement des échanges transatlantiques entre l'Europe et les Etats-Unis où cette profession va se développer considérablement. Elle s'appuie sur un important ensemble documentaire d'une grande variété : brochures, périodiques et correspondances en trois ou quatre langues, archives administratives et d'entreprises, presse et mémoires d'artistes, aussi bien européennes qu'américaines qui n'avait pas encore été exploitée de façon aussi systématique.
Laetitia Corbière se nourrit de travaux de la sociologie de l'art, de l'histoire sociale de la musique, de l'histoire des circulations et des mondialisations. Son analyse se situe à la conjonction de deux champs d'étude longtemps disjoints : l'art et l'économie des spectacles. Sa réflexion porte sur les rapports de domination culturelle entre aires géographico-culturelles, mais également sur les mutations de la puissance symbolique entre 1850 et 1930, alors que le centre de gravité du monde culturel bascule de l'Europe vers les Etats-Unis.