Du citoyen et des religions. Liberté, souveraineté et laïcité

Par : Philippe Forget
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  • Nombre de pages150
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.256 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-917191-90-3
  • EAN9782917191903
  • Date de parution23/10/2013
  • ÉditeurBerg International

Résumé

Les religions semblent retrouver une nouvelle vie dans des sociétés à la fois désertées par la vie de la pensée et livrées à de profondes mutations démographiques. Abusée, l'opinion en oublie que la République laïque s'est construite sur l'affirmation de la liberté de conscience par rapport à la religion. Tout citoyen est libre de croire ou de ne pas croire. Il ne saurait être d'emblée assigné à une identité religieuse, sous peine de régression historique.
A l'ère de la liberté éclairée de l'individu et de la souveraineté du peuple, cultes et croyances restent nécessairement confinés à la sphère privée. S'il y a des religions sur le territoire de la République, aucune ne petit être dite "de la République". L'auteur s'emploie donc à décrypter les nouvelles recettes idéologiques par lesquelles un cléricalisme médiatique s'évertue à tarauder la conscience critique du citoyen.
Obnubilé par ses "racines", celui-ci ne conçoit plus l'universalité de l'intérêt public, il consent à être traité en individu mineur et ordonné à des tâches subsidiaires. Les mêmes illusions toxiques de l'absolu révélé imbibent autant les préjugés religieux que les dogmes idéologiques de notre époque. Comme l'explique Philippe Forget, la publicité des "minorités visibles", l'apologie du "multiculturalisme" et le culte de l'Autre aboutissent à ruiner l'unité républicaine du peuple qui dès lors macère dans ses mémoires, aux dépens du progrès commun.
Les "élites" parasitaires prospèrent sur l'usure morale et politique de la conscience collective qu'elles privent ainsi d'horizon. L'urgence de l'heure ne commande pas de restaurer une prétendue identité canonique de la nation, mais de repousser l'idolâtrie politico-médiatique des fétiches religieux. Il y va de la liberté des individus, de la souveraineté des citoyens et de l'indépendance de la patrie.
La République ne se partage pas avec les meutes et troupeaux du dieu de soumission. L'enjeu est de remettre le citoyen et sa République sur leurs pieds.
Les religions semblent retrouver une nouvelle vie dans des sociétés à la fois désertées par la vie de la pensée et livrées à de profondes mutations démographiques. Abusée, l'opinion en oublie que la République laïque s'est construite sur l'affirmation de la liberté de conscience par rapport à la religion. Tout citoyen est libre de croire ou de ne pas croire. Il ne saurait être d'emblée assigné à une identité religieuse, sous peine de régression historique.
A l'ère de la liberté éclairée de l'individu et de la souveraineté du peuple, cultes et croyances restent nécessairement confinés à la sphère privée. S'il y a des religions sur le territoire de la République, aucune ne petit être dite "de la République". L'auteur s'emploie donc à décrypter les nouvelles recettes idéologiques par lesquelles un cléricalisme médiatique s'évertue à tarauder la conscience critique du citoyen.
Obnubilé par ses "racines", celui-ci ne conçoit plus l'universalité de l'intérêt public, il consent à être traité en individu mineur et ordonné à des tâches subsidiaires. Les mêmes illusions toxiques de l'absolu révélé imbibent autant les préjugés religieux que les dogmes idéologiques de notre époque. Comme l'explique Philippe Forget, la publicité des "minorités visibles", l'apologie du "multiculturalisme" et le culte de l'Autre aboutissent à ruiner l'unité républicaine du peuple qui dès lors macère dans ses mémoires, aux dépens du progrès commun.
Les "élites" parasitaires prospèrent sur l'usure morale et politique de la conscience collective qu'elles privent ainsi d'horizon. L'urgence de l'heure ne commande pas de restaurer une prétendue identité canonique de la nation, mais de repousser l'idolâtrie politico-médiatique des fétiches religieux. Il y va de la liberté des individus, de la souveraineté des citoyens et de l'indépendance de la patrie.
La République ne se partage pas avec les meutes et troupeaux du dieu de soumission. L'enjeu est de remettre le citoyen et sa République sur leurs pieds.