Du bon usage de la régression. A propos de trois rêves de Descartes
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- Nombre de pages120
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.124 kg
- Dimensions11,9 cm × 18,5 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-07-017797-4
- EAN9782070177974
- Date de parution14/11/2016
- CollectionConnaissance de l'inconscient
- ÉditeurGallimard
- TraducteurMichel Gribinski
Résumé
Ce livre, le premier de Bertram D. Lewin à paraître en France, porte sur les trois rêves que Descartes fait dans la nuit du 10 novembre 1619, après lesquels il croit que l'Ange de la Vérité est venu dans son sommeil lui révéler la nature mathématique du monde. Or Lewin ne cherchera pas à interpréter ces rêves : dans une démarche vivante, charmante, respectueuse de leur énigme, il ne s'intéresse qu'à leur fonctionnement - au travail du rêve, "voie royale" d'accès à l'inconscient.
On ne sera donc pas étonné d'apprendre, dans la biographie de l'auteur par Michel Gribinski, que Lewin était poète (cinq de ses poèmes sont ici traduits), musicien et polyglotte, que sa culture impressionnante s'accompagnait de lightheartedness, était portée d'un coeur léger, enjoué, et que le langage et les idées étaient son métier naturel. Les idées ? L'auteur montrera que les rêves, exclus de la science depuis Héraclite parce qu'ils échappent à la vie partagée, sont, sous un déguisement, la source de la conception scientifique du monde.
On ne sera donc pas étonné d'apprendre, dans la biographie de l'auteur par Michel Gribinski, que Lewin était poète (cinq de ses poèmes sont ici traduits), musicien et polyglotte, que sa culture impressionnante s'accompagnait de lightheartedness, était portée d'un coeur léger, enjoué, et que le langage et les idées étaient son métier naturel. Les idées ? L'auteur montrera que les rêves, exclus de la science depuis Héraclite parce qu'ils échappent à la vie partagée, sont, sous un déguisement, la source de la conception scientifique du monde.
Ce livre, le premier de Bertram D. Lewin à paraître en France, porte sur les trois rêves que Descartes fait dans la nuit du 10 novembre 1619, après lesquels il croit que l'Ange de la Vérité est venu dans son sommeil lui révéler la nature mathématique du monde. Or Lewin ne cherchera pas à interpréter ces rêves : dans une démarche vivante, charmante, respectueuse de leur énigme, il ne s'intéresse qu'à leur fonctionnement - au travail du rêve, "voie royale" d'accès à l'inconscient.
On ne sera donc pas étonné d'apprendre, dans la biographie de l'auteur par Michel Gribinski, que Lewin était poète (cinq de ses poèmes sont ici traduits), musicien et polyglotte, que sa culture impressionnante s'accompagnait de lightheartedness, était portée d'un coeur léger, enjoué, et que le langage et les idées étaient son métier naturel. Les idées ? L'auteur montrera que les rêves, exclus de la science depuis Héraclite parce qu'ils échappent à la vie partagée, sont, sous un déguisement, la source de la conception scientifique du monde.
On ne sera donc pas étonné d'apprendre, dans la biographie de l'auteur par Michel Gribinski, que Lewin était poète (cinq de ses poèmes sont ici traduits), musicien et polyglotte, que sa culture impressionnante s'accompagnait de lightheartedness, était portée d'un coeur léger, enjoué, et que le langage et les idées étaient son métier naturel. Les idées ? L'auteur montrera que les rêves, exclus de la science depuis Héraclite parce qu'ils échappent à la vie partagée, sont, sous un déguisement, la source de la conception scientifique du monde.