Droit et mobilité : actes du colloque aux facultés universitaires de Namur, le 18 octobre 2002
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- Nombre de pages110
- PrésentationBroché
- Poids0.325 kg
- Dimensions20,6 cm × 294,0 cm × 8,0 cm
- ISBN2-87037-414-3
- EAN9782870374146
- Date de parution01/01/2004
- ÉditeurPU Namur
Résumé
Notre mobilité est précieuse, que ce soit pour nos loisirs ou pour réaliser des activités qui nous obligent à parcourir un nombre croissant de kilomètres. Cette mobilité paraît parfois menacée car la très forte demande de déplacements des personnes se heurte à la croissance également rapide de la circulation des marchandises et aux limites de capacité des infrastructures. Elle est aussi menaçante à cause de l'insécurité routière et de la pollution engendrée par les transports.
Peut-on la protéger, en particulier pour nos concitoyens les plus vulnérables, par des textes de loi tenant compte des contraintes et des conflits dont elle fait l'objet ? La revendication d'un droit constitutionnel à la mobilité ne cesse de croître et le politique comme le citoyen commencent à faire un usage courant de cette notion. Mais un tel droit est-il réellement envisageable ? Le colloque Droit et mobilité, qui s'est tenu en octobre 2002 à Namur, a été l'occasion de donner la parole à différents intervenants, spécialistes des transports et de la mobilité, militants associatifs ou syndicaux, juristes, sociologues, chacun apportant son éclairage spécifique sur le sujet.
Le présent ouvrage reprend les communications du colloque. Après les débats de cette journée, la question est loin d'être close. Mais le travail engagé par les intervenants a posé les balises d'une réflexion qui, il faut l'espérer, se poursuivra au niveau associatif et politique.
Peut-on la protéger, en particulier pour nos concitoyens les plus vulnérables, par des textes de loi tenant compte des contraintes et des conflits dont elle fait l'objet ? La revendication d'un droit constitutionnel à la mobilité ne cesse de croître et le politique comme le citoyen commencent à faire un usage courant de cette notion. Mais un tel droit est-il réellement envisageable ? Le colloque Droit et mobilité, qui s'est tenu en octobre 2002 à Namur, a été l'occasion de donner la parole à différents intervenants, spécialistes des transports et de la mobilité, militants associatifs ou syndicaux, juristes, sociologues, chacun apportant son éclairage spécifique sur le sujet.
Le présent ouvrage reprend les communications du colloque. Après les débats de cette journée, la question est loin d'être close. Mais le travail engagé par les intervenants a posé les balises d'une réflexion qui, il faut l'espérer, se poursuivra au niveau associatif et politique.
Notre mobilité est précieuse, que ce soit pour nos loisirs ou pour réaliser des activités qui nous obligent à parcourir un nombre croissant de kilomètres. Cette mobilité paraît parfois menacée car la très forte demande de déplacements des personnes se heurte à la croissance également rapide de la circulation des marchandises et aux limites de capacité des infrastructures. Elle est aussi menaçante à cause de l'insécurité routière et de la pollution engendrée par les transports.
Peut-on la protéger, en particulier pour nos concitoyens les plus vulnérables, par des textes de loi tenant compte des contraintes et des conflits dont elle fait l'objet ? La revendication d'un droit constitutionnel à la mobilité ne cesse de croître et le politique comme le citoyen commencent à faire un usage courant de cette notion. Mais un tel droit est-il réellement envisageable ? Le colloque Droit et mobilité, qui s'est tenu en octobre 2002 à Namur, a été l'occasion de donner la parole à différents intervenants, spécialistes des transports et de la mobilité, militants associatifs ou syndicaux, juristes, sociologues, chacun apportant son éclairage spécifique sur le sujet.
Le présent ouvrage reprend les communications du colloque. Après les débats de cette journée, la question est loin d'être close. Mais le travail engagé par les intervenants a posé les balises d'une réflexion qui, il faut l'espérer, se poursuivra au niveau associatif et politique.
Peut-on la protéger, en particulier pour nos concitoyens les plus vulnérables, par des textes de loi tenant compte des contraintes et des conflits dont elle fait l'objet ? La revendication d'un droit constitutionnel à la mobilité ne cesse de croître et le politique comme le citoyen commencent à faire un usage courant de cette notion. Mais un tel droit est-il réellement envisageable ? Le colloque Droit et mobilité, qui s'est tenu en octobre 2002 à Namur, a été l'occasion de donner la parole à différents intervenants, spécialistes des transports et de la mobilité, militants associatifs ou syndicaux, juristes, sociologues, chacun apportant son éclairage spécifique sur le sujet.
Le présent ouvrage reprend les communications du colloque. Après les débats de cette journée, la question est loin d'être close. Mais le travail engagé par les intervenants a posé les balises d'une réflexion qui, il faut l'espérer, se poursuivra au niveau associatif et politique.