Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Droit d'ingérence ou obligation de réaction ? - Les possibilités d'action visant à assurer le respect des droits de la personne face au principe de non-intervention
Depuis quelques années, le concept de " droit " ou de " devoir d'ingérence " a fait son apparition dans le langage des diplomates, des hommes politiques...
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Depuis quelques années, le concept de " droit " ou de " devoir d'ingérence " a fait son apparition dans le langage des diplomates, des hommes politiques et des médias. Décrié par les uns, encensé par les autres, il est aujourd'hui au centre du débat sur la réforme du droit international dans le cadre de ce que beaucoup ont appelé un " nouvel ordre Mondial ". A la base de la proposition qui tend à généraliser un " droit d'ingérence " se trouve une supposition, celle de l'inefficacité du droit international classique à assurer un respect effectif des droits de la personne à l'intérieur d'autres Etats. L'ouvrage a pour principale ambition de vérifier le bien-fondé de cette supposition. Les auteurs montrent ainsi que toute une série de réactions aux violations des droits de l'individu sont actuellement permises par le droit international, que ces réactions soient non armées - mesures non contraignantes, rétorsions, représailles - ou armées - par l'intermédiaire du Conseil de sécurité de l'O.N.U. Le fait que ces possibilités de réactions aient rarement été utilisées dans le passé ne remet pas en cause leur licéité. Les instruments récents, tels que les résolutions adoptées par les organes des Nations Unies depuis 1991, ne font qu'en confirmer l'existence, sans bouleverser pour autant le droit existant. Les auteurs insistent dès lors sur la nécessité, et même l'obligation, d'utiliser les mécanismes existants plutôt que de vouloir introduire un " droit d'ingérence " dont le passé a montré les excès auxquels il pourrait conduire.
Olivier Corten et Pierre Klein sont nés respectivement le 23 octobre et le 24 février 1964. Ils enseignent le droit international public à l'Université Libre de Bruxelles.
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