Documents diplomatiques français 1915. Tome 3 (15 septembre - 31 décembre)

Par : Maurice Vaïsse

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  • Nombre de pages949
  • PrésentationRelié
  • Poids1.7 kg
  • Dimensions23,0 cm × 15,0 cm × 0,6 cm
  • ISBN90-5201-204-0
  • EAN9789052012049
  • Date de parution01/01/2004
  • CollectionDocuments diplomatiques frança
  • ÉditeurPIE

Résumé

C'est aux difficiles derniers mois de 1915 que s'attache ce volume. L'arrivée au Quai d'Orsay du nouveau président du Conseil, Aristide Briand, marque la volonté française de cohésion au sein de la Quadruple Entente, alors que la diplomatie anglaise continue de mettre à l'épreuve l'unité des Alliés. La complexité des questions militaires et diplomatiques, et leurs interférences, rendent nécessaire l'organisation de conférences interalliées où se retrouvent militaires et hommes d'Etat.
L'idée d'une unité d'action et de commandement semble entendue mais, à cette date, les intérêts particuliers des différents Etats s'imposent encore. Cette année se termine sur l'incertitude grecque et sur celle du monde proche et extrême-oriental, essentiellement fondées sur l'instabilité politique des Etats de cette partie du monde. Tant sur le plan économique que sur celui de la propagande, de nouvelles impulsions et une structuration évidente permettront d'aborder 1916 sous un nouvel angle.
Militairement, l'idée d'une révision des relations entre les états-majors alliés paraît acquise aussi bien par les diplomates que par les généraux, en raison de la situation inquiétante en Russie et en Serbie, de l'attitude réservée de l'Italie et de la crise de l'armement. En fait, l'élargissement de la Triple Entente, tant souhaitée par la France, n'a fait qu'ajouter aux difficultés.
C'est aux difficiles derniers mois de 1915 que s'attache ce volume. L'arrivée au Quai d'Orsay du nouveau président du Conseil, Aristide Briand, marque la volonté française de cohésion au sein de la Quadruple Entente, alors que la diplomatie anglaise continue de mettre à l'épreuve l'unité des Alliés. La complexité des questions militaires et diplomatiques, et leurs interférences, rendent nécessaire l'organisation de conférences interalliées où se retrouvent militaires et hommes d'Etat.
L'idée d'une unité d'action et de commandement semble entendue mais, à cette date, les intérêts particuliers des différents Etats s'imposent encore. Cette année se termine sur l'incertitude grecque et sur celle du monde proche et extrême-oriental, essentiellement fondées sur l'instabilité politique des Etats de cette partie du monde. Tant sur le plan économique que sur celui de la propagande, de nouvelles impulsions et une structuration évidente permettront d'aborder 1916 sous un nouvel angle.
Militairement, l'idée d'une révision des relations entre les états-majors alliés paraît acquise aussi bien par les diplomates que par les généraux, en raison de la situation inquiétante en Russie et en Serbie, de l'attitude réservée de l'Italie et de la crise de l'armement. En fait, l'élargissement de la Triple Entente, tant souhaitée par la France, n'a fait qu'ajouter aux difficultés.
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