Dits et faits de FRERE LAURENT DE LA RESURRECTION

Par : Laurent de la résurrection Frère

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  • Nombre de pages68
  • PrésentationBroché
  • Poids0.07 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 0,5 cm
  • ISBN979-10-94910-29-0
  • EAN9791094910290
  • Date de parution01/02/2021
  • ÉditeurArcades Ambo
  • PréfacierMichel Angella

Résumé

Laurent de la Résurrection (1614-1691), frère convers des Carmes déchaux, fut cuisinier pendant quinze ans puis savetier jusqu'à sa mort. Le bruit de sa sainteté s'étant répandu dans Paris, il fut sollicité et visité par de grands personnages, à commencer par Fénelon. Son expérience mystique, fondée sur le principe du souvenir perpétuel de la Présence divine, eut une grande influence dans le monde anglo-saxon.
En France, il n'a vraiment trouvé sa place qu'au XXe siècle, notamment à travers l'édition des écrits et entretiens due à Conrad de Meester (Le Cerf, 1991), sur laquelle se fonde l'anthologie du présent volume.
Laurent de la Résurrection (1614-1691), frère convers des Carmes déchaux, fut cuisinier pendant quinze ans puis savetier jusqu'à sa mort. Le bruit de sa sainteté s'étant répandu dans Paris, il fut sollicité et visité par de grands personnages, à commencer par Fénelon. Son expérience mystique, fondée sur le principe du souvenir perpétuel de la Présence divine, eut une grande influence dans le monde anglo-saxon.
En France, il n'a vraiment trouvé sa place qu'au XXe siècle, notamment à travers l'édition des écrits et entretiens due à Conrad de Meester (Le Cerf, 1991), sur laquelle se fonde l'anthologie du présent volume.
Le Frère Laurent (1614-1691) connut une fulgurante conversion en voyant un arbre dépouillé en hiver. Frère convers des Carmes déchaux, il vécut l'essentiel de sa vie au couvent de la rue de Vaugirard, à Paris, où il fut cuisinier pendant quinze ans puis savetier jusqu'à sa mort. Le bruit de sa sainteté s'étant répandu dans Paris, il fut sollicité et visité par de grands personnages, dont les plus connus sont son biographe, Joseph de Beaufort, vicaire général du cardinal de Noailles, et surtout Fénelon, sur qui il eut une réelle influence. Sa mystique, fondée sur le principe très simple du souvenir perpétuel de la Présence divine, dont le coeur est "l'oratoire" , eut une grande influence dans le monde anglo-saxon. En France, associé à tort au quiétisme, il n'a vraiment trouvé sa place qu'au XXe siècle.