Vitriol sur capitalisme, cynisme ardent, ferveur antisociale, maniérisme de la tour d'ivoire, tout y passe. On en rit presque, on en rit jaune.
Parvenir à ce stade de misanthropie et de désinvolture tient du miracle !
Et puis on bascule, avec l'ivresse du désespoir, vers une virée mélancolique, road-trip sans route ni véhicule, une boucle dans une boucle. Parce que même pour notre anti-héros fondamentalement rétif au système, la solitude écrase, le silence réduit la pensée à une économie personnelle.
Donc, on peut parler ici de roman post-historique joué par un héros ex-nihiliste.
Guido Morselli, en 1972, réinventait le livre de fin du monde, le film de zombies sans les zombies, Will Smith sans l'envie de sauver ce qu'il peut rester d'humanité.
Vitriol sur capitalisme, cynisme ardent, ferveur antisociale, maniérisme de la tour d'ivoire, tout y passe. On en rit presque, on en rit jaune.
Parvenir à ce stade de misanthropie et de désinvolture tient du miracle !
Et puis on bascule, avec l'ivresse du désespoir, vers une virée mélancolique, road-trip sans route ni véhicule, une boucle dans une boucle. Parce que même pour notre anti-héros fondamentalement rétif au système, la solitude écrase, le silence réduit la pensée à une économie personnelle.
Donc, on peut parler ici de roman post-historique joué par un héros ex-nihiliste.
Guido Morselli, en 1972, réinventait le livre de fin du monde, le film de zombies sans les zombies, Will Smith sans l'envie de sauver ce qu'il peut rester d'humanité.