Dissertation physico-théologique touchant la conception de Jésus-Christ dans le sein de la Vierge Marie, sa mère. 1742

Par : Jean Pierquin, Claude Louis-Combet

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages110
  • PrésentationBroché
  • Poids0.12 kg
  • Dimensions11,1 cm × 17,1 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-84137-041-0
  • EAN9782841370412
  • Date de parution01/01/1996
  • CollectionAtopia
  • ÉditeurMillon

Résumé

De Jean Pierquin en personne, il y a peu à dire. Il naquit à Charleville en 1672 et passa toute sa carrière comme curé du village de Châtel, en Champagne où il mourut en 1742. Il représente parfaitement un certain type de prêtre de campagne, au siècle des Lumières, partageant sa vie entre les soins de son ministère et son goût pour la spéculation scientifique. Intéressé surtout par l'astronomie, la géographie et les sciences naturelles, il a laissé un ensemble d'études, sur des sujets souvent bizarres, et dont la pertinence était contestée à mesure même qu'elles paraissaient dans le Journal de Verdun. La dissertation que l'on pourra lire ici est annoncée comme physico-théologique. Elle aborde, à partir de la théorie des germes préformés, et dans une perspective qui, se veut résolument naturaliste, le mystère de la conception virginale de Jésus. Pierquin entend démontrer que les processus biologiques mis en oeuvre lors de la grossesse de la Vierge Marie sont exactement ceux qui se produisent chez toutes les femmes, et que la vertu du Saint-Esprit s'est substituée suprêmement au fluide ordinaire de la liqueur spermatique, sans que soit remis en question le cours normal de la nature.
De Jean Pierquin en personne, il y a peu à dire. Il naquit à Charleville en 1672 et passa toute sa carrière comme curé du village de Châtel, en Champagne où il mourut en 1742. Il représente parfaitement un certain type de prêtre de campagne, au siècle des Lumières, partageant sa vie entre les soins de son ministère et son goût pour la spéculation scientifique. Intéressé surtout par l'astronomie, la géographie et les sciences naturelles, il a laissé un ensemble d'études, sur des sujets souvent bizarres, et dont la pertinence était contestée à mesure même qu'elles paraissaient dans le Journal de Verdun. La dissertation que l'on pourra lire ici est annoncée comme physico-théologique. Elle aborde, à partir de la théorie des germes préformés, et dans une perspective qui, se veut résolument naturaliste, le mystère de la conception virginale de Jésus. Pierquin entend démontrer que les processus biologiques mis en oeuvre lors de la grossesse de la Vierge Marie sont exactement ceux qui se produisent chez toutes les femmes, et que la vertu du Saint-Esprit s'est substituée suprêmement au fluide ordinaire de la liqueur spermatique, sans que soit remis en question le cours normal de la nature.