Discours de réception de Mario Vargas Llosa à l’Académie française et réponse de Daniel Rondeau. Suivi des allocutions prononcées à l’occasion de la remise de l’épée par Hélène Carrère d’Encausse, Antoine Gallimard, Mario Vargas Llosa
Par : ,Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages112
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.13 kg
- Dimensions11,8 cm × 18,5 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-07-303388-8
- EAN9782073033888
- Date de parution12/10/2023
- CollectionBlanche
- ÉditeurGallimard
Résumé
"En apprenant le français et en lisant les auteurs français sans relâche, j'aspirais secrètement à être un écrivain français. J'étais convaincu qu'il était impossible d'être un écrivain au Pérou, un pays sans maisons d'édition et aux rares librairies, où les écrivains que je connaissais étaient presque tous des avocats qui travaillaient à leur cabinet toute la semaine et écrivaient des poèmes seulement les dimanches.
Moi, je voulais écrire tous les jours, comme le faisaient les véritables écrivains, c'est pourquoi je rêvais de la France et de Paris".
Moi, je voulais écrire tous les jours, comme le faisaient les véritables écrivains, c'est pourquoi je rêvais de la France et de Paris".
"En apprenant le français et en lisant les auteurs français sans relâche, j'aspirais secrètement à être un écrivain français. J'étais convaincu qu'il était impossible d'être un écrivain au Pérou, un pays sans maisons d'édition et aux rares librairies, où les écrivains que je connaissais étaient presque tous des avocats qui travaillaient à leur cabinet toute la semaine et écrivaient des poèmes seulement les dimanches.
Moi, je voulais écrire tous les jours, comme le faisaient les véritables écrivains, c'est pourquoi je rêvais de la France et de Paris".
Moi, je voulais écrire tous les jours, comme le faisaient les véritables écrivains, c'est pourquoi je rêvais de la France et de Paris".