Dire la vérité. Causeries du samedi, juin 1954 - février 1955
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- Nombre de pages133
- PrésentationBroché
- Poids0.12 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-84734-458-5
- EAN9782847344585
- Date de parution04/10/2007
- CollectionTexto
- ÉditeurTallandier
Résumé
L'objet principal de cette allocution est de vous dire mon intention de m'adresser
régulièrement à vous, pour vous parler en toute simplicité, comme ce soir, et vous tenir au courant de ce que fait et de ce que pense le gouvernement qui est votre gouvernement. " Le 26 juin 1954, huit jours après son investiture, le président du Conseil, Pierre Mendès France (1907-1982), ouvre par ces mots le premier d'une série de messages radiodiffusés au peuple français. Vingt-cinq " causeries du samedi " vont suivre, jusqu'à la chute du gouvernement en février 1955. Ce moyen de communication alors insolite contourne les jeux politiciens de la IVe République, pour établir un lien direct entre le peuple et ses gouvernants. Ces allocutions, juge Mauriac, introduisent une " parole humaine en politique ". PMF y impose sa marque, ses idées, son style épuré, sa sincérité, son extraordinaire talent de pédagogue. " C'est à nous de fatiguer le doute du peuple par la persévérance de notre dévouement ", disait Jaurès. La citation, on ne s'en étonnera pas, était l'une des préférées de Mendès.
L'objet principal de cette allocution est de vous dire mon intention de m'adresser
régulièrement à vous, pour vous parler en toute simplicité, comme ce soir, et vous tenir au courant de ce que fait et de ce que pense le gouvernement qui est votre gouvernement. " Le 26 juin 1954, huit jours après son investiture, le président du Conseil, Pierre Mendès France (1907-1982), ouvre par ces mots le premier d'une série de messages radiodiffusés au peuple français. Vingt-cinq " causeries du samedi " vont suivre, jusqu'à la chute du gouvernement en février 1955. Ce moyen de communication alors insolite contourne les jeux politiciens de la IVe République, pour établir un lien direct entre le peuple et ses gouvernants. Ces allocutions, juge Mauriac, introduisent une " parole humaine en politique ". PMF y impose sa marque, ses idées, son style épuré, sa sincérité, son extraordinaire talent de pédagogue. " C'est à nous de fatiguer le doute du peuple par la persévérance de notre dévouement ", disait Jaurès. La citation, on ne s'en étonnera pas, était l'une des préférées de Mendès.