Dictionnaire encyclopédique de la musique de chambre. Tome 2, K - Z
édition revue et augmentée
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- Nombre de pages840
- PrésentationBroché
- Poids0.45 kg
- Dimensions13,1 cm × 19,9 cm × 2,3 cm
- ISBN2-221-07848-9
- EAN9782221078488
- Date de parution01/10/1999
- CollectionBouquins
- ÉditeurRobert Laffont
Résumé
La musique de chambre (en italien " Musica da camera ", en allemand " Kammermusik ") était à l'origine la musique qui se jouait dans la maison d'un prince, par opposition à la musique d'église ou de théâtre. Au fil des siècles, elle a évolué dans deux directions opposées : le nombre d'instrumentistes s'est restreint pour se limiter à la musique " domestique " alors que l'auditoire s'est élargi avec la disparition des privilèges de la noblesse.
Au XIXe siècle, la musique de chambre se jouait généralement dans des salons avant de se glisser progressivement vers les salles de concert, où elle a atteint son apogée au XXe siècle. La nomenclature a continué à évoluer avec ce changement de contexte : si le quatuor à cordes, considéré comme la forme de référence dès la fin du XVIIIe siècle, est resté l'axe principal en s'adaptant à des espaces plus vastes, certains instruments ou regroupements instrumentaux peu usités dans les salons ont été admis dans le sérail pour la musique de chambre.
La musique de chambre est aussi la musique dans laquelle chaque instrumentiste se voit confier une partie distincte, la musique du dialogue. C'est aussi la musique du refuge, celle qui offre au plus haut degré le pouvoir de s'échapper, le pouvoir de rêver. Et c'est peut-être la raison pour laquelle les grands compositeurs lui ont livré leurs confidences les plus intimes, leurs chefs-d'oeuvre souvent.
Alain Pâris.
Au XIXe siècle, la musique de chambre se jouait généralement dans des salons avant de se glisser progressivement vers les salles de concert, où elle a atteint son apogée au XXe siècle. La nomenclature a continué à évoluer avec ce changement de contexte : si le quatuor à cordes, considéré comme la forme de référence dès la fin du XVIIIe siècle, est resté l'axe principal en s'adaptant à des espaces plus vastes, certains instruments ou regroupements instrumentaux peu usités dans les salons ont été admis dans le sérail pour la musique de chambre.
La musique de chambre est aussi la musique dans laquelle chaque instrumentiste se voit confier une partie distincte, la musique du dialogue. C'est aussi la musique du refuge, celle qui offre au plus haut degré le pouvoir de s'échapper, le pouvoir de rêver. Et c'est peut-être la raison pour laquelle les grands compositeurs lui ont livré leurs confidences les plus intimes, leurs chefs-d'oeuvre souvent.
Alain Pâris.
La musique de chambre (en italien " Musica da camera ", en allemand " Kammermusik ") était à l'origine la musique qui se jouait dans la maison d'un prince, par opposition à la musique d'église ou de théâtre. Au fil des siècles, elle a évolué dans deux directions opposées : le nombre d'instrumentistes s'est restreint pour se limiter à la musique " domestique " alors que l'auditoire s'est élargi avec la disparition des privilèges de la noblesse.
Au XIXe siècle, la musique de chambre se jouait généralement dans des salons avant de se glisser progressivement vers les salles de concert, où elle a atteint son apogée au XXe siècle. La nomenclature a continué à évoluer avec ce changement de contexte : si le quatuor à cordes, considéré comme la forme de référence dès la fin du XVIIIe siècle, est resté l'axe principal en s'adaptant à des espaces plus vastes, certains instruments ou regroupements instrumentaux peu usités dans les salons ont été admis dans le sérail pour la musique de chambre.
La musique de chambre est aussi la musique dans laquelle chaque instrumentiste se voit confier une partie distincte, la musique du dialogue. C'est aussi la musique du refuge, celle qui offre au plus haut degré le pouvoir de s'échapper, le pouvoir de rêver. Et c'est peut-être la raison pour laquelle les grands compositeurs lui ont livré leurs confidences les plus intimes, leurs chefs-d'oeuvre souvent.
Alain Pâris.
Au XIXe siècle, la musique de chambre se jouait généralement dans des salons avant de se glisser progressivement vers les salles de concert, où elle a atteint son apogée au XXe siècle. La nomenclature a continué à évoluer avec ce changement de contexte : si le quatuor à cordes, considéré comme la forme de référence dès la fin du XVIIIe siècle, est resté l'axe principal en s'adaptant à des espaces plus vastes, certains instruments ou regroupements instrumentaux peu usités dans les salons ont été admis dans le sérail pour la musique de chambre.
La musique de chambre est aussi la musique dans laquelle chaque instrumentiste se voit confier une partie distincte, la musique du dialogue. C'est aussi la musique du refuge, celle qui offre au plus haut degré le pouvoir de s'échapper, le pouvoir de rêver. Et c'est peut-être la raison pour laquelle les grands compositeurs lui ont livré leurs confidences les plus intimes, leurs chefs-d'oeuvre souvent.
Alain Pâris.